Les maladies dont nous protègent les vaccins

Les maladies dont nous protègent les vaccins

De quelles maladies protègent les vaccins? Quels sont les risques si on ne vaccine pas son enfant?


La vaccination est le meilleur moyen de protéger les enfants contre de graves maladies. Au Québec, les services de santé publique assurent l’immunisation des enfants en offrant différents vaccins, seuls ou combinés. Les vaccins sont administrés à l’âge où le risque d’attraper la maladie est le plus important. Le calendrier de vaccination ainsi établi vise à protéger les enfants contre ces maladies ou leurs complications.

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Le vaccin DCaT-HB-VPI-Hib

Ce vaccin « 6 en 1 » immunise à la fois contre la diphtérie (D), la coqueluche (Ca), le tétanos (T), l’hépatite B (HB), la poliomyélite (VPI) et les infections à l’Haemophilus influenzae de type b (Hib). Il est offert à 2 mois, avec des rappels à 4 mois et à 12 mois (sauf pour l’hépatite B).

Le calendrier de vaccination a été modifié en 2019. Il y a donc une période de transition pour les doses de rappel pour certains vaccins.
  • Un rappel du vaccin contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos est prévu entre 4 et 6 ans ainsi qu’en 3e année du secondaire.
  • Un rappel du vaccin contre la poliomyélite est prévu entre 4 et 6 ans.
  • À 18 mois, les enfants recevront un rappel du vaccin contre l’hépatite B combiné à celui contre l’hépatite A. Les enfants nés avant le 1er juin 2019 recevront toutefois le vaccin contre l’hépatite A et l’hépatite B en 4e année du primaire et un rappel du vaccin contre l’hépatite B en 3e année du secondaire.

Maladies et complications

  • Diphtérie (D) : Elle peut causer de graves maux de gorge, des lésions nerveuses, une insuffisance cardiaque et un décès chez 1 personne atteinte sur 10. En 1924, on déclarait 9 000 cas au Canada. Aujourd’hui, il y a moins de 5 cas par année et aucun décès.
  • Coqueluche (Ca) : Elle peut occasionner de graves quintes de toux pendant 3 à 6 semaines, une pneumonie et des convulsions. Avant l’âge de 1 an, environ 1 bébé atteint sur 4 devra être hospitalisé. Chez 1 nourrisson sur 400, elle provoque des lésions cérébrales ou le décès. Avant la vaccination apparue en 1943, on comptait plus de 30 000 cas par année, dont 50 à 100 décès. Actuellement, cette maladie cause la mort de 1 à 3 nourrissons par année au Canada.
  • Hépatite (B) : Cette maladie est causée par un virus qui infecte le foie. La moitié des gens infectés ne présente pas de symptômes, mais les autres auront de la fièvre, de la fatigue, une perte d’appétit et une jaunisse. La plupart des gens guérissent après quelques semaines ou quelques mois, mais les enfants infectés très jeunes courent davantage de risques que l’hépatite persiste pour la vie. Les individus porteurs ont également plus de risque de cirrhose, de mauvais fonctionnement du foie et de cancer du foie. Certains auront besoin d’une greffe et d’autres en mourront. Au Canada, on diagnostique moins de 1 000 nouvelles infections par année.
  • Tétanos (T) : Les spores (bactéries protégées) du tétanos se trouvent dans la poussière et dans la terre. Si elles pénètrent dans une plaie, la toxine produite par ces bactéries atteint la moelle épinière, ce qui provoque des convulsions et des spasmes douloureux. Avant la vaccination en 1940, de 60 à 75 cas de tétanos survenaient chaque année au Canada, faisant de 40 à 50 morts. Aujourd’hui, on rapporte moins de 3 cas par année.
  • Poliomyélite (VPI) : Cette maladie peut provoquer la paralysie de diverses parties du corps, dont les centres nerveux qui contrôlent la respiration, la circulation et d’autres fonctions vitales. On peut donc en mourir. Elle a disparu de l’Occident, mais existe toujours en Asie du Sud et dans certaines parties de l’Afrique. Au cours de la dernière épidémie au Canada, en 1959, on a dénombré 2 000 cas de poliomyélite, dont environ 1 000 au Québec. Il n’y a eu aucun cas depuis 1989.
  • Infections à Haemophilus influenzae de type b (Hib) : Cette bactérie cause, entre autres, une méningite, c’est-à-dire une infection des membranes et du fluide qui tapissent le cerveau et la moelle épinière. En absence de traitement, le taux de mortalité est très élevé. Même avec un traitement, certains enfants peuvent en mourir, et le tiers des survivants présentent des lésions cérébrales. Ils peuvent entre autres développer de la surdité. Avant le vaccin, la bactérie causait 1 500 méningites et 1 500 autres infections (épiglottite, infections des os et des articulations, pneumonie) par année. Depuis, on en compte une trentaine par année.
Principaux effets secondaires possibles du vaccin
Que faire à la maison
  • Douleur au site d’injection : plus de 50 % des enfants
  • Agitation et pleurs inhabituels : plus de 50 % des enfants
  • Rougeur, gonflement au site d’injection : de 10 à 50 % des enfants
  • Irritabilité, somnolence, perte d’appétit : de 10 à 50 % des enfants
  • Fièvre : de 10 à 50 % des enfants
  • Appliquez une compresse d’eau froide à l’endroit où votre enfant a été vacciné.
  • Pour soulager la fièvre, donnez à votre enfant de l’acétaminophène ou de l’ibuprofène (s’il a plus de 6 mois) en respectant bien les doses recommandées en fonction de son poids.

Le vaccin contre le pneumocoque

Approuvé au Canada depuis 2001, il est offert à tous les enfants à l’âge de 2 mois, avec deux rappels (à 4 mois et à 12 mois).

Il existe plusieurs types de pneumocoques. Un premier vaccin conjugué (vaccin SynflorixMD) protège contre 10 types de pneumocoques et est administré à l’âge de 2 et de 4 mois. Un second vaccin conjugué (vaccin Prevnar-13MD) protège contre les 13 types de pneumocoques les plus fréquents chez les enfants et il est administré à l’âge de 12 mois.

Maladies et complications

Les infections à pneumocoque sont la principale cause de pneumonie bactérienne et d’otites chez les enfants. Elles causent aussi des méningites et des bactériémies.

Ainsi, avant la vaccination, environ 500 000 maladies à pneumocoque se déclaraient chaque année au Canada. De ce nombre, 65 enfants de moins de 2 ans souffraient de méningite; 700, de bactériémie; 2 200, de pneumonie; et 200 000, d’otite. En 2004, le taux de graves infections à pneumocoque a diminué de 82 % chez les enfants de moins de 2 ans.

Principaux effets secondaires possibles du vaccin
Que faire à la maison
  • Douleur, rougeur, gonflement au site d’injection : de 10 à 50 % des enfants
  • Fièvre légère : de 10 à 50 % des enfants
  • Irritabilité, changements dans le sommeil, perte d’appétit : de 10 à 50 % des enfants
  • Appliquez une compresse d’eau froide à l’endroit où votre enfant a été vacciné.
  • Pour soulager la fièvre, donnez à votre enfant de l’acétaminophène ou de l’ibuprofène (s’il a plus de 6 mois) en respectant bien les doses recommandées en fonction de son poids.

Le vaccin contre le rotavirus

Le vaccin contre le rotavirus comprend 2 doses sous forme liquide à prendre par la bouche. Il est offert à 2 mois avec un rappel à 4 mois.

Maladies et complications

Le rotavirus est la principale cause de diarrhée abondante chez les bébés et les jeunes enfants. Les enfants de 6 mois à 2 ans sont principalement touchés et doivent souvent consulter aux urgences ou être hospitalisés. Plus de 95 % des enfants souffrent d’une gastroentérite à rotavirus avant l’âge de 5 ans.

Principaux effets secondaires possibles du vaccin
Que faire à la maison
  • Diarrhée ou vomissements : moins de 10 % des enfants
  • Surveillez l’état de votre enfant afin d’éviter la déshydratation.

Le vaccin contre le méningocoque

Le vaccin contre le méningocoque de sérogroupe C est offert à tous les enfants de 18 mois. Un rappel était auparavant fait en 3e année du secondaire. Le calendrier de vaccination a toutefois été modifié en juin 2023 afin d’offrir aux élèves de 3e secondaire une protection contre les infections à méningocoque de sérogroupe A, C, W et Y.

Maladies et complications

Certaines personnes abritent ce germe dans leur gorge ou leur nez sans tomber malades. Mais dans de rares cas, le germe cause de graves maladies, y compris la méningite bactérienne et la méningococcémie.

Avant la vaccination, on comptait de 200 à 400 cas par an, dont 20 à 40 décès. Au Québec, la campagne de vaccination effectuée en 2001 a permis de mettre un terme à l’éclosion qui était survenue.

Principaux effets secondaires possibles du vaccin
Que faire à la maison
  • Douleur au site d’injection : plus de 50 % des enfants
  • Rougeur, gonflement au site d’injection : moins de 50 % des enfants
  • Fièvre : moins de 50 % des enfants
  • Somnolence, irritabilité, perte d’appétit, nausées, vomissements, diarrhée, mal de tête, malaise, douleur musculaire, douleur aux jointures : moins de 50 % des enfants
  • Appliquez une compresse d’eau froide à l’endroit où votre enfant a été vacciné.
  • Pour soulager la fièvre ou le mal de tête, donnez à votre enfant de l’acétaminophène ou de l’ibuprofène (s’il a plus de 6 mois) en respectant bien les doses recommandées en fonction de son poids.

Le vaccin RRO-VAR

Ce vaccin « 4 en 1 » immunise contre la rougeole (R), la rubéole (R), les oreillons (O) et la varicelle (VAR). Il est administré à l’âge de 12 mois et de 18 mois.

Une deuxième dose du vaccin contre la varicelle est administrée aux enfants nés avant le 1er juin 2019 lors du rappel du vaccin dcaT-VPI entre 4 et 6 ans, car ils n’ont reçu qu’une seule dose du vaccin contre la varicelle (à 18 mois). Cette dose supplémentaire offrirait une protection plus efficace et plus durable pour les enfants.

Maladies et complications

  • La rougeole peut provoquer une bronchite grave, une forte fièvre, des éruptions (taches) rouges en relief et, dans 1 cas sur 1 000, un décès ou une encéphalite (inflammation intense du cerveau). De 300 000 cas par année avant 1963, on recense en moyenne 20 cas par année depuis 2001, dont la plupart sont amenés par des voyageurs.
  • La rubéole est causée par un virus. Elle provoque de la fièvre, un mal de gorge et une enflure des glandes situées à l’arrière du cou ou des oreilles. Elle est en général bénigne chez les enfants. Cependant, si une femme contracte la rubéole pendant les 20 premières semaines de grossesse, le risque que le bébé meure ou présente de graves malformations est très élevé. La vaccination sert donc surtout à protéger ces derniers. Avant 1980, au Canada, environ 200 nouveau-nés étaient atteints chaque année de rubéole congénitale. Depuis 1980, on compte en moyenne 3 cas de rubéole congénitale par année.
  • Les oreillons causent de la fièvre, des maux de tête et l’enflure des glandes salivaires autour de la mâchoire et des joues. Environ 10 % des personnes qui contractent les oreillons auront aussi la méningite, sous sa forme bénigne. Cependant, les oreillons peuvent aussi provoquer des encéphalites chez l’enfant et sont une importante cause de surdité. Avant l’arrivée du vaccin en 1969, environ 30 000 cas étaient déclarés chaque année au Canada. Depuis 2001, on compte 90 cas par année.
  • La varicelle cause de la fièvre suivie d’une forte éruption cutanée accompagnée de démangeaisons. Les symptômes durent de 7 à 10 jours. Les principales complications sont l’impétigo (surinfection bactérienne des lésions cutanées), la pneumonie, l’otite et l’encéphalite. Le virus se propage très facilement par contact personnel, par exemple lorsqu’on touche aux cloques, mais aussi par voie aérienne, en toussant ou en éternuant. Avant la vaccination, la varicelle entraînait 1 000 hospitalisations et 10 décès chaque année au Canada. Dans les provinces où il y a maintenant un programme de vaccination contre la varicelle, une diminution de 65 à 84 % des hospitalisations a été observée.
Principaux effets secondaires possibles du vaccin
Que faire à la maison
  • Fièvre légère ou modérée entre la 5e et la 12e journée après la vaccination : plus de 50 % des enfants
  • Douleur, rougeur au site d’injection : de 10 à 50 % des enfants
  • Fatigue, irritabilité, somnolence, diarrhée, perte d’appétit : de 10 à 50 % des enfants
  • Fièvre élevée entre la 5e et la 12e journée après la vaccination : de 10 à 50 % des enfants
  • Appliquez une compresse d’eau froide à l’endroit où votre enfant a été vacciné.
  • Pour soulager la fièvre, donnez à votre enfant de l’acétaminophène ou de l’ibuprofène (s’il a plus de 6 mois) en respectant bien les doses recommandées en fonction de son poids.

Vaccin RRO et autisme : pas de preuves scientifiques

En 1998, la publication d’une étude frauduleuse menée par le Dr Andrew Wakefield a créé une controverse qui a fait couler beaucoup d’encre. Cette étude, dont il a été prouvé que les résultats avaient été falsifiés, concluait que le vaccin RRO pourrait être associé à certains cas d’autisme. Or, des études menées dans plusieurs pays ont toutes conclu que rien ne permettait d’établir une relation de cause à effet entre le vaccin et l’augmentation des cas d’autisme. Il n’existe, à l’heure actuelle, aucune preuve indiquant que le vaccin pourrait causer l’autisme.
En 2010, le Dr Wakefield a été radié à vie du collège des médecins britannique. Il a notamment été reconnu coupable, au terme de 148 journées d’audience, de malhonnêteté, d’irresponsabilité et de non-divulgation de conflits d’intérêts en lien avec cette étude controversée. Au cours de la même année, l’étude a été retirée des archives de la revue scientifique The Lancet.

Le vaccin contre l’influenza

Puisque le virus de l’influenza A (la souche qui cause le plus d’infections) se modifie constamment, le vaccin doit être administré tous les ans, à l’automne. On estime que le vaccin protège environ 40 à 60 % des personnes en bonne santé, s’il contient bien les souches du virus qui circule dans la population. Si ce n’est pas le cas, son efficacité sera moindre.

Par exemple, en 2014, les scientifiques n’ont pas identifié les bonnes souches d’influenza lors de la mise au point du vaccin et celui-ci n’a donc eu aucune efficacité. Cette situation est toutefois extrêmement rare.

Le vaccin contre l’influenza est recommandé chez les enfants de 6 mois et plus souffrant de maladies chroniques comme l’asthme, le diabète et la fibrose kystique.

Maladies et complications

Ce virus provoque des épidémies de grippe, de bronchite et de pneumonie, en automne et en hiver. Proche du virus du rhume, l’influenza occasionne des symptômes beaucoup plus forts et graves. Tous les ans, elle infecte de 10 à 20 % des Canadiens et entraîne le décès de 4 000 à 8 000 d’entre eux. Les études démontrent que le taux d’hospitalisations causées par l’influenza est aussi élevé chez les nourrissons que chez les personnes âgées.

Principaux effets secondaires possibles du vaccin
Que faire à la maison
  • Douleur au site d’injection : plus de 50 % des enfants
  • Rougeur, gonflement au site d’injection : de 10 à 50 % des enfants
  • Douleur musculaire, douleur aux jointures : de 10 à 50 % des enfants
  • Fatigue, perte d’appétit, somnolence, irritabilité : de 10 à 50 % des enfants
  • Appliquez une compresse d’eau froide à l’endroit où votre enfant a été vacciné.
Naître et grandir

Révision scientifique : Dr Arnaud Gagneur, spécialiste en néonatalogie et en vaccinologie
Recherche et rédaction :Équipe Naître et grandir
Mise à jour : Juillet 2023

Photo : iStock.com/vgajic

Ressources et références

Note : Les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est donc possible qu’un lien devienne introuvable. Dans un tel cas, utilisez les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.

  • AGENCE DE LA SANTÉ PUBLIQUE DU CANADA. Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI). 2021. www.canada.ca
  • AGENCE DE LA SANTÉ PUBLIQUE DU CANADA. Guide canadien d’immunisation. 2016. www.canada.ca
  • AGENCE DE LA SANTÉ PUBLIQUE DU CANADA. Vaccins et immunisation. 2021. www.canada.ca
  • AGENCE SCIENCE-PRESSE. Vaccin et autisme : pourquoi le Lancet a-t-il tant attendu. 2010. www.sciencepresse.qc.ca
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Programme d’indemnisation des victimes d’une vaccination. 2021. www.quebec.ca
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Programme québécois d’immunisation. 2020. www.quebec.ca
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Grippe (influenza). 2019. www.quebec.ca
  • IMMUNISATION CANADA. immunize.ca
  • IMMUNISATION CANADA. Ressources crédibles au sujet de la vaccination. immunize.ca
  • INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC. Ligne du temps des maladies infectieuses au Québec. www.inspq.qc.ca
  • INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC. Mise à jour du programme de vaccination québécois contre les infections invasives à méningocoque de sérogroupes A, C, W et Y. 2023. inspq.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Feuilles d’information pour les personnes à vacciner. 2021. publications.msss.gouv.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Questions et réponses sur la vaccination. 2020. www.msss.gouv.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Vaccin conjugué contre le méningocoque de sérogroupe C. 2020. publications.msss.gouv.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Vaccin conjugué contre le pneumocoque. 2020. publications.msss.gouv.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Vaccin contre le rotavirus. 2019. publications.msss.gouv.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Vaccins DCaT-HB-VPI-Hib et DCaT-VPI-Hib. 2019. publications.msss.gouv.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Vaccin injectable contre la grippe. 2018. publications.msss.gouv.qc.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Vaccin RRO-Var : vaccin combiné contre la rougeole, la rubéole, les oreillons et la varicelle. 2020. publications.msss.gouv.qc.ca
  • SOCIÉTÉ CANADIENNE DE PÉDIATRIE. Les politiques d’exclusion des écoles, des milieux de garde et des camps à cause de la varicelle : une approche rationnelle. 2018. www.cps.ca
  • SOCIÉTÉ CANADIENNE DE PÉDIATRIE. Soins de nos enfants. Le vaccin contre l’hépatite B. 2021. www.soinsdenosenfants.cps.ca
  • SOCIÉTÉ CANADIENNE DE PÉDIATRIE. Soins de nos enfants. Vaccination pour les enfants et les adolescents. www.soinsdenosenfants.cps.ca
  • Taylor, Luke E., Amy L. Swerdfeger et Guy D. Eslick. “Vaccines are not associated with autism: An evidence-based meta-analysis of case-control and cohort studies”, Vaccine, vol. 32, no 29, 2014, p. 3623-3629. www.sciencedirect.com

Livres généraux :

  • MONCHICOURT, Marie-Odile et Claude LECLERC. Quel avenir pour les vaccins? Platypus Press, 2001.
  • MOORE, Dorothy L. Les vaccins : avoir la piqûre pour la santé de votre enfant. 4e éd., Société canadienne de pédiatrie, 2015. librairie.cps.ca

Livres pour les enfants :

  • AUDET, N. Félix et Boubou. Joëlle va chez le docteur : vaccination. Éditions Boomerang, 2018.
  • BENCHETRIT, André. Mon corps, comment se défend-il? Belin Éducation, 2006.
  • BERGERON, Alain M. Mineurs et vaccinés. Éditions Ma petite vache a mal aux pattes, 2012.
  • LEDU, Stéphanie et Catherine BRUS. Chez le docteur. Milan jeunesse, 2006.
  • DE PETIGNY, Aline et Clara SUETENS. Une piqûre pour Corentin. Chanteclerc, 2003.

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