L'enfant aux besoins particuliers: ce qu'il faut savoir

L'enfant aux besoins particuliers: ce qu'il faut savoir
Votre enfant est différent et nécessite des soins particuliers. Comment faire pour rester optimiste?


Les enfants aux besoins particuliers ont une condition qui fait que leur développement se passe différemment de celui de l’ensemble des enfants de leur âge. Qui sont-ils et comment s’adapter à leurs besoins particuliers?

Qui sont les enfants aux besoins particuliers?

Les enfants aux besoins particuliers présentent des caractéristiques variées. Il peut s’agir d’enfants avec une déficience physique (ex. : un enfant amputé), une déficience sensorielle (surdité, cécité) ou une déficience intellectuelle (ex. : trisomie 21).

Cela comprend aussi les enfants qui ont un trouble du développement (ex. : paralysie cérébrale, syndrome de Gilles de la Tourette, trouble du spectre de l’autisme), un trouble du déficit de l’attention (TDA/H) de même que les enfants qui ont un trouble de langage ou un trouble d’apprentissage, comme le trouble développemental du langage ou la dyspraxie.

Suivant leur diagnostic, tout leur développement global est touché ou seulement certaines sphères de leur développement (ex. : motricité, langage, comportement, socialisation, gestion des émotions).

Il peut aussi arriver que des enfants qui vivent avec un problème de santé mentale, comme un trouble anxieux ou une maladie chronique (ex. : diabète, fibrose kystique, maladie de Crohn), aient des besoins particuliers.

Ces enfants ont besoin que des mesures soient mises en place pour favoriser leur fonctionnement dans leur famille et leur inclusion dans leurs différents milieux de vie, comme la garderie et l’école.

Par exemple, un enfant ayant un trouble de langage peut avoir besoin de soutien visuel pour accomplir ses routines quotidiennes. Un enfant qui utilise un fauteuil roulant a aussi besoin d’un environnement physique adapté pour se déplacer et devenir plus autonome dans ses déplacements.

Et les enfants doués?

Les enfants qui ont un haut potentiel intellectuel ne sont pas nécessairement considérés comme des enfants aux besoins particuliers. La douance intellectuelle n’est pas un diagnostic, puisqu’il ne s’agit pas d’un trouble à proprement parler. Toutefois, comme les enfants à haut potentiel peuvent également présenter un ou plusieurs troubles associés (ex. : TDAH, TSA), certains, touchés par cette double exceptionnalité, ont des besoins particuliers. Pour en savoir plus, consultez notre fiche : La douance ou le haut potentiel chez l’enfant.

Le choc du diagnostic

L’annonce du diagnostic est souvent vécue comme un choc par les parents. Apprendre que son enfant est aux prises avec des difficultés physiques ou qu’il a des problèmes sur le plan du développement peut susciter de vives émotions et de l’inquiétude, notamment en ce qui concerne son avenir. Voici des exemples de réactions possibles.

  • Les parents mentionnent souvent ne pas comprendre l’ensemble des éléments expliqués par les professionnels au moment de l’annonce du diagnostic. D’une part, ils sont trop bouleversés pour tout comprendre sur-le-champ. D’autre part, certains termes médicaux sont en effet très complexes.
  • Les parents se sentent parfois démunis en rentrant à la maison. Ils doivent commencer à faire un deuil : le deuil de l’enfant « idéal », de l’avenir imaginé pour lui et de la famille dite « normale ». De plus, chaque parent le vit à sa manière et à son rythme, ce qui peut provoquer des tensions au sein du couple.
  • Certains parents peuvent vivre de la colère et trouver la situation injuste.
  • D’autres se sentent coupables de la condition de leur enfant même s’ils n’y sont pour rien.
  • Les parents peuvent se sentir incompris par leur entourage, qui ne vit pas cette même réalité.

Ces réactions sont normales. Le diagnostic indique aux parents qu’ils feront face à des exigences plus grandes que celles qu’affrontent en général les parents d’enfants qui ne présentent pas de besoins particuliers.

Des besoins universels

Il n’y a pas si longtemps, on parlait d’enfants ayant des « besoins spéciaux ». Au cours des dernières années, l’appellation a changé et on parle maintenant d’enfants aux « besoins particuliers ». L’appellation « besoins particuliers » est toutefois critiquée, car ces enfants ont les mêmes besoins fondamentaux que tous les autres. C’est-à-dire que leurs besoins de base (se nourrir, se loger, être en sécurité) doivent aussi être comblés. Ils ont également besoin de se développer le plus harmonieusement possible, d’être aimés et stimulés, compris, inclus, etc. Toutefois, il ne faut pas minimiser le fait que ces enfants ont besoin de soutien à différents niveaux afin de s’adapter, de vivre des réussites et de combler leurs besoins.

Les exigences et les responsabilités des parents

Être parent en général est demandant. Il faut donner les soins nécessaires à son enfant, accepter de ne pas pouvoir tout contrôler et faire face aux imprévus. Cette réalité est encore plus vraie pour les parents d’un enfant aux besoins particuliers, car ils ont des responsabilités plus grandes que la majorité des autres parents. Voici un aperçu des défis qui les attendent.

Les soins à offrir

Les enfants qui ont des besoins particuliers nécessitent souvent des soins supplémentaires ou plus de temps et d’aide pour faire ce que fait la majorité des autres enfants. Par exemple, un enfant avec un handicap physique peut avoir besoin de l’aide de ses parents pour s’habiller, pour manger et pour se laver même s’il grandit.

Un enfant qui a une déficience intellectuelle, qui présente un trouble développemental de la coordination (aussi appelé dyspraxie motrice) ou un TDAH demande également plus de soutien au quotidien. Par exemple, il peut mettre plus de temps à s’habiller (en raison de difficultés motrices ou de difficultés d’attention) ou ressentir la frustration de manière plus vive dans les moments de transition.

Cela demande beaucoup de patience de la part des parents et la mise en place de différentes stratégies. Certains problèmes ou certaines maladies présentent d’autres défis aux parents, comme l’administration de médicaments, parfois plusieurs fois par jour, ou la préparation de repas particuliers.

Les nombreux rendez-vous

Selon le diagnostic, l’enfant aux besoins particuliers est généralement encadré par une équipe de spécialistes formés par exemple en orthophonie, en ergothérapie, en psychoéducation, en travail social, en physiothérapie, etc. L’enfant peut donc avoir des rendez-vous réguliers afin d’obtenir des traitements et des services adaptés. Cela ajoute à la charge mentale et aux responsabilités parentales.

Le manque d’accès rapide aux services et le fait d’être longtemps en attente sur une liste représentent également une source de stress pour les parents. Plusieurs peuvent se sentir impuissants, démunis et dépassés par la gestion des défis quotidiens.

Les parents jouent aussi un rôle important dans la mise en application des recommandations, des exercices et des stratégies proposées par les différents intervenants.

Le stress financier

Le parent qui accompagne l’enfant aux besoins particuliers à ses rendez-vous doit parfois prendre congé du travail et s’organiser pour faire garder les frères et soeurs, s’il y a lieu.

Il arrive même qu’un des parents doive quitter son emploi pour s’occuper à temps plein de son enfant à besoins particuliers. On note donc souvent une baisse de revenus chez les familles qui ont un enfant avec de tels besoins.

Cette précarité financière peut engendrer un stress supplémentaire et compromettre le bien-être psychologique de l’ensemble des membres de la famille.

L’isolement social

Plusieurs parents d’un enfant ayant des besoins particuliers souffrent d’isolement. Leur réalité rend les visites chez la famille et les amis plus difficiles. L’entourage peut également ressentir un malaise par rapport à la situation de l’enfant et tout ce que cela implique (comportements différents, moins grande disponibilité de l’adulte, horaire plus strict, incompréhension de la réalité des parents, etc.) et ainsi s’éloigner petit à petit.

La fatigue

Les nombreux rendez-vous, les besoins supplémentaires de l’enfant, le manque de sommeil, le sentiment d’impuissance, les inquiétudes pour l’avenir de l’enfant, le manque de services professionnels et l’isolement sont des exemples des différents facteurs qui expliquent pourquoi les parents d’un enfant aux besoins particuliers sont plus susceptibles d’être fatigués. À long terme, cette fatigue peut mener à l’épuisement et à la dépression.

Comment s’adapter aux besoins particuliers de son enfant?

Certaines stratégies peuvent aider les parents à mieux s’adapter aux besoins particuliers de leur enfant. Voici de bons conseils à mettre en pratique.

Parents dans un groupe de soutien
  • Joignez-vous à un groupe de parents dont les enfants ont le même diagnostic que le vôtre. Cela peut même se faire sur les réseaux sociaux (ex. : groupe Facebook). Ces parents traversent la même épreuve que vous et savent ce que vous vivez. Ils peuvent vous dire à quoi vous attendre et partager des moyens trouvés pour s’aider de même que pour aider leur enfant.
  • Construisez-vous un réseau de soutien formé de parents et d’amis qui peuvent s’occuper de votre enfant quand vous avez besoin d’aide ou de répit.
  • Tenez un journal. De nombreux parents trouvent que cela les aide. Notez vos inquiétudes, vos questions et vos bons coups. Inscrivez-y aussi les progrès de votre enfant, ainsi que des détails relatifs à certaines ressources et aux professionnels avec qui vous faites affaire. Vous vous sentirez plus tranquille et vous aurez l’impression de maîtriser davantage la situation.
  • Essayez de ne pas trop vous inquiéter de l’avenir. Rappelez-vous que vous devez régler chaque chose en son temps. Dites-vous aussi que la situation de votre enfant évolue constamment et que le réseau des services sociaux de même que la recherche progressent également. Par exemple, au fil des ans, de nouvelles avancées peuvent venir améliorer la situation de votre enfant.
  • Évitez d’être trop exigeant et trop dur envers vous-même. Rappelez-vous que vous êtes de bons parents et que vous faites de votre mieux pour votre enfant.
  • Essayez de vous concentrer sur les points forts de votre enfant et évitez de le comparer aux autres.
  • Tentez de prendre soin de vous. N’oubliez pas que vos besoins aussi sont importants. Essayez le plus possible de bien manger, de dormir suffisamment et de faire de l’exercice régulièrement. Vous pouvez aussi vous entourer de personnes qui vous font du bien, écouter de la musique, lire un livre qui vous fait décrocher, passer du temps en nature, etc.

Pour réduire les répercussions sur la famille

Les soins et l’attention à apporter à un enfant aux besoins particuliers prennent beaucoup de place dans le quotidien d’une famille. Voici d’autres bons conseils pour réduire les répercussions des besoins importants de l’enfant sur différents aspects de la vie des parents et de la famille.

Faites équipe avec votre partenaire

Il est bon que les parents se voient comme une équipe qui s’entraide et s’encourage. Partagez-vous les tâches et les soins à apporter en fonction de vos forces et de vos limites. Pour favoriser des relations harmonieuses, communiquez vos émotions à l’autre.

Donnez-vous le droit de vivre de la fatigue, du stress, de l’impuissance ou de la colère et évitez de juger l’autre parent quand il parle de ce qu’il ressent. Quand les parents vont bien, cela a un effet positif sur toute la famille.

Prenez soin de votre couple

Avec l’horaire chargé, les soins particuliers à apporter, le stress et toutes les tâches du quotidien, il ne reste plus beaucoup de temps pour prendre soin de votre couple. Essayez malgré tout de passer régulièrement un peu de temps en amoureux. Vous pouvez faire une sortie à l’extérieur si votre budget et votre organisation familiale vous le permettent.

Mettez les membres de votre entourage à contribution pour faire garder les enfants. Plusieurs organismes offrent aussi des services de gardiennage à coûts réduits pour les enfants à besoins particuliers. Renseignez-vous auprès de votre CLSC et de vos associations régionales.

Vous pouvez aussi simplement aller marcher, parler d’autre chose que de la vie familiale ou écouter une série ensemble pour prendre soin de votre couple.

Passez du bon temps en famille

En raison des mesures adaptées à mettre en place pour l’enfant aux besoins particuliers, il n’est pas rare que ses frères ou soeurs vivent un sentiment de jalousie ou d’incompréhension. Ils peuvent par exemple se sentir négligés ou mis de côté. Il peut aussi arriver que les frères et soeurs se sentent responsables de l’enfant aux besoins particuliers et se mettent à agir comme un troisième parent.

Père qui lit à sa petite fille

Pour éviter ce genre de situation, assurez-vous que vos autres enfants vivent leur vie d’enfants. Essayez de passer chaque jour un moment privilégié avec chacun de vos enfants pour qu’ils ne se sentent pas mis à l’écart, même si ce n’est que quelques minutes, comme le temps de lire une histoire. Encouragez-les à voir leurs amis et à faire des activités qu’ils aiment.

Et n’oubliez pas de passer aussi des moments agréables avec votre enfant aux besoins particuliers. Riez, jouez, cuisinez, dansez, dessinez ensemble! Il est important que vos interactions avec lui ne se limitent pas aux soins particuliers que vous lui apportez.

Trouvez des ressources d’aide

Renseignez-vous auprès de votre CLSC ou du médecin de votre enfant pour connaître les ressources communautaires et gouvernementales mises à la disposition des parents dont les enfants ont des besoins particuliers. Cela vous permettra de savoir vers qui vous tourner pour obtenir des informations, par exemple sur les programmes d’aide financière, les services de répit ou les services de soutien à la fratrie. Certains groupes offrent par exemple des rencontres de groupe avec des enfants dans la même situation. Cela permet aux frères et soeurs de se sentir compris et moins seuls.

Préservez vos activités professionnelles

Avoir des activités professionnelles fait généralement du bien. Cela permet de vous réaliser ailleurs que dans votre rôle de parent. Évitez donc de tout prendre sur vos épaules. Partagez avec l’autre parent les rendez-vous auxquels il faut assister. Cela évite que ce soit toujours le même parent qui s’absente du travail.

À retenir

  • Les enfants aux besoins particuliers ont un développement différent des autres enfants. Ils ont besoin que des mesures soient mises en place pour accomplir différentes activités de leur quotidien.
  • Il est possible pour les parents d’avoir du soutien en joignant un groupe de parents et en faisant appel à l’entourage.
  • Il est important que les parents forment une équipe et passent du temps avec leurs autres enfants.
Naître et grandir

Révision scientifique : Stéphanie Deslauriers, psychoéducatrice
Rédaction :Équipe Naître et grandir
Mise à jour :
Février 2024

Photos : GettyImages/ Tatiana Dyuvbanova, ParkerDeen et lkercelik

Ressources et références

Note : Les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est donc possible qu’un lien devienne introuvable. Dans un tel cas, utilisez les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.

Pour les parents

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  • ASSOCIATION DE PARALYSIE CÉRÉBRALE DU QUÉBEC. paralysiecerebrale.com
  • ASSOCIATION DES PARENTS D’ENFANTS HANDICAPÉS. apeh.ca
  • ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES NEUROPSYCHOLOGUES. aqnp.ca
  • ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DU SYNDROME DE LA TOURETTE. aqst.com
  • BÉLANGER, Stacey. Le trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité. Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2008, 200 p.
  • BÉLANGER, Stacey et autres. Le trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité. Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2019, 232 p.
  • BÉLIVEAU, Marie-Claude. Dyslexie et autres maux d’école… Quand et comment intervenir. Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2020, 312 p.
  • BÉRUBÉ, Denis et autres. Mon enfant est asthmatique. Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2010, 84 p.
  • BOËLS, Nathalie. Le nanisme : se faire une place au soleil dans un monde de grands. Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2008, 184 p.
  • BRETON, Sylvie et France LÉGER. Mon cerveau ne m’écoute pas : comprendre et aider l’enfant dyspraxique. Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2018, 212 p.
  • CHARTRÉ, Marie-Ève et autres. Maladie chronique : ce n’est pas juste, mais on s’ajuste! Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2022, 226 p.
  • COALITION DE PARENTS D’ENFANTS À BESOINS PARTICULIERS DU QUÉBEC. cpebpq.org
  • DUCLOS, Germain et Louise LESSARD. TDAH et estime de soi : à la rescousse des parents et des enfants. Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2019, 204 p.
  • ÉDITIONS MIDI TRENTE. Collection 10 questions sur…. miditrente.ca
  • FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L’AUTISME. autisme.qc.ca
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  • L’ÉTOILE DE PACHO. Réseau d’entraide pour parents d’enfants handicapés. etoiledepacho.ca
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Pour les enfants

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  • RUDOLPH, Shaina et Danielle ROYER. Les rayures d’Arthur. Saint-Lambert, Dominique et cie, 2018, 40 p.
  • SARCIA SAUNDERS, Merriam. Lili dans la lune. Saint-Lambert, Dominique et cie, 2021, 40 p.
  • VINCENT, Annick. Mon cerveau a besoin de lunettes : le TDAH expliqué aux enfants. Montréal, Les Éditions de l’Homme, 2022, 64 p.
  • WALKER, Yann et Julie MERCIER. Léonard est un drôle de canard! Montréal, Auzou, 2016, 32 p.

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