L'importance de l'entourage

Plus un enfant est entouré d’adultes qui l’aiment, comme ses grands-parents, ses oncles, ses tantes ou des amis de la famille, mieux il se développe.

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La force du réseau

On sait que les parents qui ont un bon réseau social reçoivent plus d’aide et s’épuisent moins. Mais saviez-vous que toutes les personnes aimantes qui font partie de la vie de votre enfant participent aussi à son bon développement?

Par Julie Leduc

On sait que les parents qui ont un bon réseau social reçoivent plus d’aide et s’épuisent moins. Mais saviez-vous que toutes les personnes aimantes qui font partie de la vie de votre enfant participent aussi à son bon développement?

Avoir des enfants, c’est prenant! C’est normal d’avoir besoin d’aide. D’ailleurs, s’entraider pour prendre soin des enfants fait partie de notre nature, note Carl Lacharité, professeur émérite à l’Université du Québec à Trois-Rivières et chercheur associé au CEIDEF. « Chez les êtres humains, les soins aux enfants nécessitent la participation de plusieurs personnes », dit-il. Cela peut s’expliquer par le fait que les bébés demandent beaucoup de soins et que l’enfance dure longtemps.

Les parents gagnent donc à être en contact avec des proches, mais les enfants aussi, explique Carl Lacharité. « Pour bien se développer, un enfant a besoin de répétition, de variété et de nouveauté. Et même si, comme parent, on est assez complet, l’enfant a besoin d’aller voir ailleurs. »

Des bienfaits multiples

Les relations avec l’entourage, comme la famille et les amis, multiplient donc les stimulations et permettent à votre enfant de recevoir en double et en triple les éléments essentiels à son développement. « Un enfant qui se sent en sécurité seulement avec ses parents aura de la difficulté à développer sa confiance en lui, illustre Carl Lacharité. Mais s’il est souvent en relation avec d’autres personnes et qu’il est capable de se sentir en sécurité avec ses grands-parents, sa tante, son oncle ou des amis de la famille, il va développer une confiance en lui plus solide. »

Lorsque votre enfant passe du temps avec des gens de son entourage, il s’attache à d’autres personnes que vous. Cela l’aide à s’ouvrir au monde et l’encourage à explorer, ajoute Nathalie Parent, psychologue, auteure et conférencière. Tous les aspects du développement de l’enfant bénéficient d’un entourage à la fois sécurisant et stimulant, selon Carl Lacharité. « Cela a un impact positif sur ses habiletés sociales, mais aussi sur son langage, son intelligence et ses habiletés motrices », ajoute-t-il.

Par exemple, quand un jeune enfant parle à sa tante ou à un voisin, ces derniers le comprennent souvent moins bien que ses parents. « Ils le font répéter, observe Nathalie Parent. Cela pousse le tout-petit à trouver d’autres mots et à développer son langage pour se faire comprendre. »

Lorsqu’il passe du temps avec d’autres personnes que vous, votre enfant est stimulé d’une autre façon et il apprend de nouvelles choses.

Vous avez donc avantage à encourager l’implication de l’entourage, tout en vous assurant, bien sûr, que votre enfant est en contact avec des personnes qui ont envie d’être avec lui et qui ont son bien-être à coeur.

Suzanne Lavigueur, professeure honoraire au Département de psychoéducation et de psychologie de l’Université du Québec en Outaouais, estime qu’une personne qui juge l’enfant et qui pense qu’il devrait être différent n’offre pas une relation positive au tout-petit. « La relation peut aussi être négative si la personne critique le parent devant l’enfant, dit-elle. L’enfant ne doit pas, par exemple, se retrouver coincé entre sa mère et sa grand-mère. »

Heureusement, l’entourage familial est, la plupart du temps, bienveillant. « Les personnes liées affectivement et biologiquement à l’enfant ont tendance à vouloir prendre soin de lui », observe Carl Lacharité. Et elles lui apportent beaucoup.

Quand on a un enfant à besoins particuliers
L’implication de l’entourage peut représenter un défi pour les parents qui ont un enfant à besoins particuliers. « Parfois, le parent est mal à l’aise de demander de l’aide et il a peur d’être jugé, dit Suzanne Lavigueur. D’autres fois, c’est l’entourage qui craint de ne pas pouvoir apporter les bons soins à l’enfant ou qui ne connaît pas bien la situation. » Dans les deux cas, elle suggère de laisser l’occasion à l’entourage d’apprivoiser ce que vit l’enfant. « On peut, par exemple, aller faire un tour chez les grands-parents ou chez des amis avec son enfant tout en restant sur place. On peut aussi inviter des proches avec nous quand on fait une sortie. » Il est aussi possible de développer des liens avec d’autres personnes qui vivent la même chose que nous à travers des groupes de soutien ou des organismes spécialisés.

Précieux grands-parents

La présence des grands-parents a des effets positifs sur l’estime de soi des tout-petits. « Les grands-parents ont souvent un amour inconditionnel pour leurs petits-enfants, note Nathalie Parent. Les tout-petits sentent ce regard admiratif et cela leur donne confiance en eux-mêmes et en leurs capacités. » Les grands-parents ont souvent plus de temps, plus d’expérience et ils n’ont pas le poids des responsabilités parentales. « Ils font des activités pour avoir du plaisir avec leurs petits-enfants et c’est très valorisant pour les tout-petits », ajoute Suzanne Lavigueur. La patience et la tolérance dont les grands-parents font souvent preuve peuvent aussi être une source de réconfort. Par exemple, leur réaction est souvent moins négative devant un enfant qui a un comportement plus difficile.

Suzanne Lavigueur a aussi constaté les bienfaits de l’implication des grands-mères maternelles dans ses travaux sur les mères vulnérables. « Plusieurs jeunes mamans estimaient que leur mère jouait un rôle important dans la vie de leur enfant. » Les grands-mères de l’étude aidaient financièrement pour les soins de l’enfant, mais elles offraient aussi une sécurité affective au tout-petit en jouant avec lui, en le consolant et en passant du temps avec lui, par exemple. D’autres études ont d’ailleurs montré qu’une bonne relation avec une grand-mère aimante pouvait diminuer, chez l’enfant, les effets d’une mère moins affectueuse.

Lisez aussi notre dossier sur les grands-parents et apprenez-en plus sur leur rôle et leurs bienfaits.

Les parents ouverts à l’implication de l’entourage?
Selon les experts interrogés, les parents acceptent généralement bien que leurs proches s’impliquent auprès de leur enfant. « Certains parents sont toutefois plus protecteurs et trouvent difficile de le confier à une autre personne », observe la psychologue Nathalie Parent. Ils doivent garder en tête que l’entourage n’est pas là pour prendre leur place. Vos proches viennent compléter ce que vous offrez à votre enfant.
Parfois aussi, c’est l’entourage qui a peur de déranger, de ne pas savoir quoi faire avec l’enfant ou de se faire toujours demander de le garder par la suite. Les parents peuvent alors impliquer graduellement leurs proches dans la vie de leur enfant. Il est possible de créer des liens en rendant une petite visite à grand-maman, à des amis, ou en envoyant des photos ou un dessin à un oncle. Petit à petit, les relations vont se développer.
Toutefois, si l’anxiété des parents ou les conflits avec la famille empêchent leur enfant de passer du temps avec d’autres personnes, Nathalie Parent croit qu’il peut être bon d’essayer d’améliorer la situation. Consulter un psychologue ou un travailleur social, par exemple, pourrait aider les parents à diminuer leurs craintes ou à mieux comprendre les conflits dans leur famille.

Les racines de l’arbre

Savoir d’où on vient apporte un sentiment de sécurité. Lorsque les grands-parents partagent leurs souvenirs, l’enfant comprend qu’il a une histoire et qu’il appartient à une lignée, dit Nathalie Parent. Cela l’aide à construire son identité. C’est aussi le cas lorsque les grands-parents enseignent leur savoir-faire. Par exemple, lorsque grand-maman jardine dans le potager ou que grand-papa répare la tondeuse, l’enfant apprend l’utilité et le plaisir de faire des choses par lui-même. L’enfant réalise peu à peu qu’il continue à faire vivre les connaissances et les valeurs familiales.

Les grands-parents font aussi figure de stabilité pour l’enfant. Par exemple, lors de la naissance d’un deuxième enfant ou quand un parent tombe malade, les grands-parents assurent une continuité. « C’est très sécurisant pour un enfant d’aller chez ses grands-parents faire les mêmes activités qu’il faisait avant », dit Suzanne Lavigueur.

Voir régulièrement ses grands-parents peut aussi aider un enfant à mieux vivre la séparation de ses parents. C’est pourquoi les parents séparés devraient essayer de maintenir les liens entre leur enfant et les parents de leur ex-partenaire, même s’ils sont fâchés l’un contre l’autre, estime Nathalie Parent. « L’enfant qui vit plein de changements a besoin de garder ses repères et de voir que certaines choses ne changent pas », indique la psychologue.

Tantes, oncles, amis et cie

Les tantes, les oncles, les amis et les voisins peuvent aussi apporter beaucoup à un enfant. Marianne Prairie, autrice et éditrice, croit à l’importance du réseau social pour soutenir les parents, mais aussi pour participer au développement des enfants. Elle en a elle-même constaté les bienfaits sur ses filles. Lorsqu’elles étaient petites, ses filles étaient très proches de ses amis et voisins. « C’était enrichissant pour elles d’être en contact avec d’autres adultes. Ça leur a donné d’autres modèles. » Un peu comme si ses filles faisaient partie d’une grande famille!

Avec les tantes, les oncles, les amis et les voisins, les choses ne se déroulent pas comme à la maison. Lorsqu’il est avec ces autres personnes, votre enfant apprend donc à s’adapter. « Il voit qu’à l’extérieur de la maison, les règles, les consignes et les façons de faire et de vivre peuvent être différentes, dit Nathalie Parent. Il apprend à s’ajuster. » Il peut aussi apprendre de nouvelles choses en faisant des activités qu’il ne ferait pas avec vous. Par exemple, mieux connaître les poissons en allant pêcher avec un oncle ou faire du yoga avec une cousine.

« Je trouve que les enfants habitués à fréquenter plusieurs personnes sont plus curieux et s’adaptent mieux aux changements », dit Marianne Prairie. Suzanne Lavigueur ajoute qu’avoir régulièrement des liens avec d’autres personnes offre à un enfant plus de personnes vers qui se tourner plus tard, à l’adolescence, s’il vit une difficulté ou s’il veut se confier à quelqu’un d’autre que ses parents. « C’est toute une richesse! », affirme-t-elle. Voir des personnes différentes permet aussi à l’enfant d’apprendre à respecter et à accepter les autres.

Les villes : un soutien aux familles

De plus en plus, les villes du Québec cherchent à mieux soutenir les familles en adoptant des politiques familiales. Les villes agissent ainsi dans des domaines aussi variés que les sports et les loisirs, les activités culturelles, le développement immobilier ou l’accès aux installations municipales, comme les arénas ou les parcs.

Pour bien répondre aux besoins des familles, les villes proposent de plus en plus d’activités flexibles, qui s’adaptent à l’horaire des parents, comme les fêtes des voisins, les fêtes de la famille ou des spectacles pour enfants. Les familles peuvent choisir de s’y rendre en fonction de leur emploi du temps, sans être obligées de s’inscrire ou de suivre une session complète. De plus, dans plusieurs villes, des activités gratuites comme le cinéma ou l’heure du conte en plein air sont également offertes.

Les organismes communautaires, partenaires précieux

Dans les municipalités, les organismes communautaires jouent aussi un rôle important dans la vie des familles et des enfants. Par exemple, certains offrent différents ateliers ou des haltes-garderies où l’enfant peut socialiser. Ils offrent ainsi une stimulation complémentaire à celle qu’un enfant reçoit à la maison.

Il existe aussi des organismes qui donnent du répit aux parents, qui offrent de l’écoute téléphonique ou du soutien psychologique. D’autres proposent des cafés-rencontres, des conférences sur le développement ou sur d’autres aspects de la parentalité...

Ces organismes permettent aux parents d’échanger entre eux sur ce qu’ils vivent et de s’entraider. Utiliser les services de ces organismes est aussi bénéfique pour les enfants. Cela peut avoir un effet positif sur leur socialisation ou sur leur développement global, par exemple.

Merci de t'impliquer!

L’entourage des parents a une influence positive sur la vie de l’enfant. Trois familles remercient des personnes qui comptent ou ont particulièrement compté pour elles et leurs tout-petits.

Par Nathalie Côté

L’entourage des parents a une influence positive sur la vie de l’enfant. Trois familles remercient des personnes qui comptent ou ont particulièrement compté pour elles et leurs tout-petits.

Merci à mon ami

Benjamin Quintino, papa de Valentina, 2 ans, et sa conjointe Izabela sont arrivés du Brésil il y a quelques années. À son arrivée, Benjamin a été en contact avec plusieurs Brésiliens, dont Anderson Silva, qui est devenu un ami proche. « Avec lui, la chimie a été immédiate ; on s’entend très bien. Je veux le remercier, parce qu’il apporte beaucoup à notre vie de famille », raconte Benjamin.

Leurs deux familles sont très proches et ils se voient tous les samedis. Un lien particulier dont bénéficie aussi sa petite Valentina. « Comme ma fille est née ici et qu’elle fréquente la garderie toute la journée, elle est bien plus québécoise que brésilienne. Je pense que côtoyer des amis qui sont brésiliens nous donne l’occasion de lui faire mieux connaître ses racines. »

« Ma fille joue beaucoup avec la sienne, de deux ans son aînée. Elles s’entendent bien et c’est une bonne chose pour elle d’avoir une amie proche. Elles se chicanent aussi parfois, elles apprennent à régler leurs disputes! Souvent, nous les amenons au parc pour qu’elles puissent s’amuser », raconte le papa.

Les deux amis s’entraident aussi beaucoup. Parfois, Anderson garde la fille de Benjamin, et parfois, c’est l’inverse. « Nous partageons aussi de la nourriture. Quand nous préparons quelque chose, nous leur en donnons et ils font la même chose. Mais souvent, nous cuisinons tous ensemble. De la bouffe brésilienne, bien entendu! »

Merci à deux intervenantes

Suzy Wong, maman de Xavier, 5 ans, habitait à Québec avant de déménager à Laval. Comme elle avait de la difficulté à se faire un réseau, elle a inscrit son fils à la halte-garderie de la Maison de Quartier Vimont. « Il la fréquentait deux matins par semaine », raconte la maman.

Suzy tient à remercier particulièrement Geneviève Laquerre et Jade Samson, deux intervenantes communautaires qui ont beaucoup aidé son fils. « Xavier ne voulait rien savoir d’autres personnes que son père et moi. Notre médecin de famille soupçonnait même un trouble du spectre de l’autisme. Jade et Geneviève ont vraiment eu le tour avec lui, il les a aimées tout de suite. Elles l’ont amené à s’ouvrir et à faire confiance à d’autres personnes que nous. À la halte-garderie, Xavier aimait faire toutes sortes d’activités comme bricoler, danser, chanter… Il insistait même pour y aller lorsque nous étions en vacances! », raconte Suzy.

Suzy et son conjoint ont rapidement vu une différence dans le comportement de Xavier. « Il est devenu plus facile d’approche, plus articulé, radieux et sociable. Après moins de quatre mois de fréquentation, son médecin a constaté une nette amélioration. Il a conclu que le développement de Xavier était tout à fait normal pour son âge. Cet automne, Xavier fréquente l’école dans une classe régulière.

J’ai confiance que tout va bien se passer. Si Jade et Geneviève n’avaient pas été là, ça aurait sans doute été plus difficile », conclut-elle.

Merci à mes parents

Marie-Ève Alarie, maman de Malcolm, 2 ans, et de Malik, 5 mois, peut toujours compter sur ses parents, Gérard et France Alarie. « Je veux les remercier pour le temps qu’ils accordent à leurs petits-enfants depuis leur naissance. Ils habitent tout près et nous les voyons environ deux à trois fois par semaine », dit-elle.

Durant son premier congé de maternité, Marie-Ève passait aussi beaucoup de temps chez eux. « Mon père a un handicap, mais ça ne l’empêche pas de se mettre par terre pour jouer avec Malcolm ou de l’accompagner au parc. Il n’avait pas son pareil pour l’endormir quand il était bébé. Il lui lit aussi des histoires. Comme sa mobilité est réduite et qu’il peut moins sortir, ça met de la joie dans son quotidien de voir les enfants. Il est complètement gaga de ses petits-fils », raconte-t-elle.

Sa mère, de son côté, fait beaucoup de peinture et de pâte à modeler avec Malcolm. Des activités pour lesquelles Marie-Ève a moins de patience. « Ma mère chante aussi beaucoup avec lui. Quand j’ai accouché de son frère, nous sommes restés à l’hôpital quelques jours et elle lui avait appris une belle chanson qu’il me chantait au téléphone. »

Marie-Ève et son conjoint travaillent tous les deux à temps plein et elle reconnaît qu’il y a des choses qu’ils n’ont pas vraiment le temps de faire. « Mes parents, eux, peuvent offrir à nos enfants beaucoup de temps de qualité. »

« Malcolm est un petit bonhomme super sociable parce qu’il a été en contact tôt avec d’autres adultes, pense-t-elle. Ça aurait sans doute été différent si mes parents n’avaient pas été aussi proches. Vu mon tempérament un peu anxieux, je l’aurais sans doute couvé davantage. »
 

À retenir
  • Grands-parents, oncles, tantes, amis, voisins : tous peuvent contribuer au bon développement de l’enfant.
  • Lorsqu’il est entouré de personnes qui l’aiment et en prennent soin, votre enfant développe sa confiance en lui et apprend à s’attacher à d’autres personnes.
  • L’entourage offre des stimulations différentes à l’enfant, ce qui lui permet d’apprendre de nouvelles choses.
  • L’environnement dans lequel un enfant grandit ainsi que les services offerts dans son milieu de vie peuvent aussi favoriser son développement.

 

Naître et grandir

Source : magazine Naître et grandir, novembre 2016
Recherche et rédaction : Julie Leduc, Nathalie Côté, Kathleen Couillard
Révision scientifique : Annie Goulet, psychologue
Mise à jour : Octobre 2023

 

RESSOURCES

Sites Web

Livres

  • Ces parents à bout de souffle, S. Lavigueur, 6e édition, Les Éditions Québec-Livres, 2016, 424 p.
  • Fafounet chez ses grands-parents, L. D’Aoust, Éditions Les malins, 2016, 31 p.
  • Grands-parents aujourd’hui, plaisirs et pièges, F. Ferland, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2012, 156 p.
  • Le psy-guide des grands-parents, S. Vallières, G. Vallières-Lavoie, Les Éditions de l’Homme, 2021, 160 p.
  • Pour grands-parents seulement!, N. Parent, Les Éditions Québec-Livres, 2013, 176 p.

Articles

  • La santé des grands-parents et le bien-être de la famille, R. Margolis, Institut Vanier de la famille, 2017.
    vanierinstitute.ca/fr
  • Favoriser le développement global de l’enfant de 0 à 6 ans : quelques principes illustrés pour guider l’action. M. É Bergeron-Gaudin, A. Melançon et M. Sow, Institut National de Santé Publique du Québec, 2022.
    inspq.qc.ca

 

Photos : iStock.com/Christopher Futcher, iStock.com/Maxim Morin, iStock.com/Christopher Futcher

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