La violence conjugale

La violence conjugale
Comment la reconnaître? Quelles sont ses conséquences sur la victime et ses enfants? Que faire en cas de violence conjugale et où trouver de l’aide?


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Une enquête réalisée en 2019 indique que 3,5 % des Canadiennes et des Canadiens ont rapporté avoir été victimes de violence physique ou sexuelle commise par leur partenaire ou leur ex-partenaire, ce qui équivaut à 711 000 victimes. Ce chiffre grimpe à 11 % lorsqu’on considère la violence psychologique.

Les femmes représentent la majorité des cas rapportés à la police. Elles sont par ailleurs victimes d’une violence plus sévère. La violence conjugale touche aussi les enfants. En 2018, 7 % des enfants du Québec y auraient été exposés.

Qu’est-ce que la violence conjugale?

La violence conjugale est présente lorsqu’un des partenaires adopte de façon répétée des attitudes, des propos ou des comportements nuisibles dans le but de dominer ou de contrôler. Elle se distingue des chicanes de couple par ce rapport de force qui s’est créé entre les partenaires.

La personne qui agresse peut par exemple :

  • manquer de respect envers l’autre personne (ex. : la diminuer, l’insulter, la critiquer);
  • l’empêcher de faire certaines activités ou sorties (ex. : aller au restaurant, voir des amies);
  • la convaincre de faire des choses dont elle n’a pas envie (ex. : porter certains vêtements, boire de l’alcool, avoir une relation sexuelle).

Tout le monde peut vivre de la violence conjugale, peu importe le sexe, l’âge, l’origine ethnique, le statut social ou le revenu. Cela dit, elle touche majoritairement les femmes.

La violence conjugale peut s’installer à tout moment dans une relation, même après une séparation. Dans les familles, elle peut survenir dès la conception et la grossesse.

Les différentes formes de violence conjugale

Voici les différentes formes de violence conjugale ainsi que les façons dont elles peuvent notamment se manifester.

  • La violence psychologique et verbale, par exemple : rabaisser ou ridiculiser l’autre personne, critiquer son apparence physique ou vestimentaire, lui imposer ses opinions, ses goûts ou ses valeurs, douter de ses compétences parentales, faire du chantage, la menacer de s’en prendre aux enfants, faire preuve de jalousie, contrôler ses fréquentations ou ses déplacements, lui lancer des insultes ou des injures, élever la voix dans le but de l’intimider.
  • La violence physique, par exemple : frapper l’autre personne, faire semblant de l’étrangler, la bousculer, lui tirer les cheveux, l’empêcher de sortir de la maison, briser des objets, défoncer un mur ou une porte.
  • La violence sexuelle, par exemple : bouder si l’autre personne refuse d’avoir une relation sexuelle ou la menacer d’aller voir ailleurs, insister pour avoir des relations sexuelles, lui imposer une relation sexuelle, la forcer à faire une activité sexuelle (comme de regarder des films pornos), lui refuser des contacts physiques dans le but de la punir ou de la contrôler.
  • La violence économique, par exemple : contrôler le budget familial, défendre à l’autre personne de travailler ou l’obliger à travailler davantage, faire en sorte qu’elle n’a jamais d’argent de poche ou l’obliger à s’endetter, l’empêcher d’avoir un compte à la banque ou d’effectuer certaines dépenses personnelles.
  • La violence spirituelle, par exemple : empêcher ou imposer des croyances ou des pratiques spirituelles, dénigrer les croyances spirituelles de l’autre personne, empêcher ou obliger l’autre personne à aller dans un lieu de culte, contrôler en utilisant les croyances spirituelles de l’autre personne, utiliser des croyances spirituelles pour justifier la violence conjugale.

Ces différentes formes de violence peuvent être exercées par l’entremise des technologies, par exemple : contrôler les déplacements par la localisation cellulaire, diffuser des photos compromettantes sur les réseaux sociaux, nuire aux relations d’amitié en intervenant dans la messagerie privée de la personne, harceler en envoyant des messages texte à l’autre personne, etc.

Une nouvelle expression pour parler de violence conjugale

L’expression « violence entre partenaires intimes » est de plus en plus utilisée pour parler de « violence conjugale ». Cette appellation qui inclut la notion de « partenaires intimes » reflète davantage les différentes réalités des couples d’aujourd’hui. En effet, elle interpelle, par exemple, les jeunes, les membres de la communauté LGBTQ+ de même que les partenaires intimes qui n’habitent pas ensemble. Cette expression comprend aussi les personnes qui vivent des situations de violence après une séparation.

Le cycle de la violence conjugale

La violence conjugale se vit différemment dans chaque relation intime, amoureuse ou conjugale. Mais, généralement, elle s’installe sans que la victime s’en rende compte et s’intensifie au fil du temps. La violence conjugale se manifeste souvent sous la forme d’un cycle.

Le cycle de la violence conjugale comprend quatre phases :

À chaque cycle, la victime perd un peu plus confiance en elle et en son jugement. Sa tolérance à la violence peut augmenter. Cela permet à la personne qui agresse de garder le contrôle sur elle.
  • La tension : La personne qui agresse a des épisodes de colère, menace l’autre du regard ou manifeste son insatisfaction en boudant. La victime est inquiète ou a peur. Elle fait attention à ses faits et gestes pour essayer de désamorcer la tension.
  • L’agression : La personne qui agresse adopte ensuite des propos ou des gestes violents, que ce soit de nature psychologique, physique, verbale, sexuelle, spirituelle ou économique. Sa victime se sent triste et humiliée. Elle vit un sentiment d’injustice.
  • La justification : La personne qui agresse minimise la situation ou trouve des excuses pour justifier son comportement (ex. : le stress au travail, le comportement des enfants, l’alcool, une enfance difficile). La victime doute de sa perception de la situation ou se sent responsable de celle-ci. La victime peut vivre de l’incompréhension.
  • La réconciliation : La personne qui agresse s’excuse en promettant à l’autre de changer ou d’aller chercher de l’aide. La victime retrouve l’espoir et lui donne une chance. Elle peut modifier ses propres habitudes et aider son ou sa partenaire.

Lorsque le contrôle est bien installé, la phase de réconciliation et même celle de justification peuvent disparaître.

Comment reconnaître la violence conjugale?

Exemple de violence conjugale

Contrairement à ce que plusieurs pensent, la violence conjugale n’implique pas nécessairement de coups ni de blessures. Pour cette raison, et parce qu’elle peut prendre plusieurs formes, la violence conjugale n’est pas toujours facile à détecter.

Pour vous aider à reconnaître si vous êtes victime de violence conjugale, vous pouvez vous poser les questions suivantes :

  • Avez-vous l’impression de devoir souvent faire attention à ce que vous faites ou à ce que vous dites en présence de votre partenaire?
  • Avez-vous l’impression que tout est toujours de votre faute, jamais de la sienne?
  • Est-ce que votre partenaire vous manque régulièrement de respect?
  • Avez-vous parfois l’impression de devoir avoir une relation sexuelle avec votre partenaire pour éviter un conflit?
  • Est-ce que votre partenaire décide souvent pour vous sans vous consulter?
  • Est-ce que votre partenaire vous empêche de faire des activités à l’extérieur de la maison?

Si vous avez répondu oui à l’une de ces questions, il est important d’aller chercher de l’aide. Même si elles ne se produisent pas souvent, ces situations sont préoccupantes. La violence empire d’ailleurs souvent avec le temps.

Les conséquences de la violence conjugale sur la victime

Au fil du temps, la victime peut en venir à percevoir la violence comme normale, voire justifiée. Elle ne voit plus tous les efforts qu’elle fournit pour se protéger et protéger ses enfants de la violence. Elle ne réalise pas toujours qu’elle baigne dans un climat constant d’insécurité et de peur.

En raison de la violence conjugale, la victime peut notamment présenter :

  • de l’anxiété et du stress;
  • une détresse psychologique et des symptômes dépressifs;
  • des problèmes d’appétit et de sommeil;
  • des pertes de mémoire et des problèmes de concentration;
  • des douleurs chroniques et une fatigue persistante;
  • une précarité financière;
  • des habitudes de vie dommageables pour la santé (ex. : tabagisme, comportements sexuels à risque, automédication, problèmes de consommation d’alcool ou de drogue);
  • des idées suicidaires.

Comment soutenir une personne victime de violence conjugale?

La victime de violence conjugale vit un grand sentiment d’impuissance. Elle a besoin d’aide pour retrouver son estime d’elle et la confiance en sa perception de la situation. C’est pourquoi il importe d’intervenir si vous connaissez une personne victime de violence conjugale. Pour ce faire, vous pouvez :
  • maintenir le lien avec elle afin de rompre son isolement;
  • discuter avec elle de ses peurs, de ses doutes et de ses sentiments de culpabilité ou de honte sans la juger ou la blâmer;
  • discuter avec elle de sa perception de la situation en évitant de parler contre la personne qui l’agresse;
  • ne pas lui recommander de discuter de la situation avec la personne qui l’agresse;
  • l’informer des ressources vers lesquelles elle peut se tourner et l’aider à les trouver si elle le demande;
  • éviter de prendre des décisions à sa place.
N’incitez surtout pas la victime à quitter la maison ou la personne qui l’agresse. Le moment de la rupture est dangereux dans les cas de violence conjugale. Le risque de blessures, voire d’homicide, est important.
La séparation doit donc être planifiée afin d’assurer la sécurité de la victime et celle de ses enfants. Les maisons d’hébergement pour victimes de violence conjugale peuvent offrir du soutien dans la planification d’un départ.
Si vous craignez pour la sécurité d’une personne victime de violence conjugale ou pour celle de ses enfants, contactez le 911.

Les conséquences de la violence conjugale sur les enfants

Enfant exposé à la violence conjugale

Tout comme leur parent victime, les enfants sont soumis au cycle de la violence conjugale. Ils sont touchés par cette violence, et ce, qu’ils aient vu et entendu des actes de violence ou non. Le contrôle exercé au sein de la famille les touche aussi. Ils peuvent même être utilisés par la personne qui agresse pour atteindre le parent victime.

Cette violence peut avoir différentes conséquences sur eux. Ils peuvent alors présenter :

  • un sentiment d’insécurité;
  • des symptômes d’anxiété ou de dépression;
  • une détresse émotionnelle;
  • une irritabilité excessive ou de l’agressivité;
  • des problèmes de sommeil et des cauchemars;
  • des difficultés dans l’apprentissage de la propreté, comme l’énurésie nocturne;
  • des troubles du langage;
  • des retards de croissance;
  • une perte d’appétit;
  • des problèmes de concentration et d’attention;
  • des difficultés d’apprentissage et scolaires;
  • un repli sur soi, un isolement et une perte d’habiletés sociales.

Les conséquences sur le lien entre la victime et ses enfants

Le lien entre une mère victime de violence conjugale et ses enfants peut être compromis. Comme elle est en état de survie et qu’elle est privée de libertés dans son rôle de mère, elle peut avoir de la difficulté à bien s’occuper d’eux.

Les enfants qui sont exposés à la violence conjugale à la maison comprennent qu’il y a un parent qui détient le pouvoir et un parent qui est rejeté et en danger. Ils vont donc modifier leur comportement pour s’adapter à la situation et se protéger.

Un enfant peut par exemple refuser de respecter l’autorité du parent victime de violence conjugale pour se protéger en s’alliant à la personne qui agresse. Il s’opposera aux consignes ou aux interventions d’encadrement du parent victime. Il pourrait même frapper ou mordre pour y arriver. Un enfant peut aussi essayer de protéger la victime de violence conjugale, ce qui est une responsabilité très lourde pour lui.

La violence conjugale mine la confiance de la victime en ses compétences parentales. Certaines victimes décident d’ailleurs de poursuivre la relation avec la personne qui les agresse parce qu’elles en viennent à se croire incapables de s’occuper de leurs enfants.

Malgré ces conséquences, des mères victimes développent un lien positif et chaleureux avec leurs enfants. Cette relation mère-enfant positive peut aider à protéger les enfants des conséquences de la violence conjugale.

Comment aider un enfant exposé à la violence conjugale?

Dites à l’enfant que vous êtes là pour lui, que vous le croyez et qu’il peut vous parler quand il le veut. Laissez-le exprimer ses émotions et réconfortez-le. Vous pouvez aussi prendre soin de lui et faire ensemble des activités amusantes pour lui donner un répit.
N’essayez toutefois pas de jouer le rôle du parent auprès de l’enfant. Le parent victime de violence conjugale est le mieux placé pour aider son enfant.
Pour contribuer à l’amélioration du lien entre l’enfant et la victime de violence conjugale, évitez de juger les capacités parentales de la victime et faites sentir à l’enfant qu’il peut l’aimer, la respecter et lui faire confiance.
Si vous avez des raisons de croire que la sécurité ou le développement de l’enfant est compromis, faites un signalement au Directeur de la protection de la jeunesse. L’exposition à la violence conjugale est d’ailleurs un motif de signalement au DPJ, selon la Loi sur la protection de la jeunesse.

La violence conjugale après une séparation

La violence conjugale ne s’arrête pas nécessairement avec la rupture. Elle peut se poursuivre, voire s’intensifier. La séparation en contexte de violence conjugale est d’ailleurs un facteur de risque de l’homicide conjugal. Parfois, la violence conjugale commence après la séparation.

La violence conjugale post-séparation peut se manifester de différentes façons :

  • manipulation visant à renouer la relation (ex. : se montrer sous son meilleur jour, exprimer des regrets et de la peine);
  • harcèlement et surveillance (ex. : contacter sans arrêt la victime, la traquer);
  • contrôle par le rôle parental (ex. : monter les enfants contre la victime, contester les compétences parentales de la victime);
  • violence physique envers la victime et les enfants;
  • violence judiciaire (ex. : prolonger à l’excès les procédures judiciaires en lien avec la garde des enfants, déposer de fausses accusations contre la victime);
  • violence économique (ex. : retenir la pension alimentaire sans raison, faire volontairement gonfler les frais d’avocat de la victime).

Ces gestes violents peuvent entraîner des conséquences très importantes pour la victime et ses enfants. Il est recommandé d’aller chercher de l’aide. En cas d’urgence, n’hésitez pas à composer le 911.

Que faire si vous vous sentez en danger?

Si vous vous sentez en danger, n’hésitez pas à appeler le 911 en tout temps.

Si vous êtes locataire, sachez que vous pouvez mettre fin à votre bail résidentiel sans pénalité pour des raisons de violence conjugale. Pour en savoir plus sur le sujet, visitez les sites d’Éducaloi et du gouvernement du Québec.

Les scénarios de protection

Si vous vous trouvez dans une situation de violence conjugale, il est recommandé de prévoir des scénarios de protection.

Les scénarios de protection vous permettront d’identifier les situations qui pourraient représenter un danger pour vous ou vos enfants. Vous pourrez par la suite déterminer les risques rattachés à chacune des situations. Cela vous permettra d’élaborer des stratégies de sécurité pour tenter de limiter les différents risques.

Les scénarios de protection vous aideront à vous préparer physiquement et mentalement à affronter des épisodes de violence ou une séparation. Ils ont pour objectif d’assurer votre sécurité et celle de vos enfants. Pour en savoir plus, rendez-vous sur la page Scénarios de protection du gouvernement du Québec.

Où trouver de l’aide et de l’information?

Pour parler avec des intervenants spécialisés en violence conjugale :
  • SOS violence conjugale
    Ligne téléphonique accessible en tout temps (1 800 363-9010)
    sosviolenceconjugale.ca
  • Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale
    maisons-femmes.qc.ca
  • Fédération des maisons d’hébergement pour femmes
    fmhf.ca
  • Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale
    alliancemh2.org
  • À coeur d’homme, réseau d’organismes d’aide aux hommes ayant des comportements violents (1 877 660‑7799)
    acoeurdhomme.com
Pour obtenir de l’aide pour les enfants exposés à la violence conjugale :
  • Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ)
    quebec.ca
  • Tel-jeunes
    teljeunes.com
  • Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale*
    maisons-femmes.qc.ca
  • Fédération des maisons d’hébergement pour femmes*
    fmhf.ca
  • Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale*
    alliancemh2.org

* Les maisons d’hébergement offrent aussi des services qui s’adressent spécifiquement aux jeunes.

Autres ressources :
  • Rebâtir, consultation juridique gratuite pour les victimes de violence sexuelle ou conjugale (1 833 REBÂTIR)
    https://rebatir.ca/
  • Programme Espace
    espacesansviolence.org
  • Projet STEP (Soutenir la transition et l’engagement dans la parentalité)
    projetstep.ca
  • Réseau Maisons Oxygène, aide et hébergement pour les pères en détresse et leurs enfants
    maisonsoxygene.ca
  • Centres d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC)
    cavac.qc.ca
  • Centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS) et centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux (CIUSSS)
    quebec.ca

À retenir

  • La violence conjugale est une prise de pouvoir d’un partenaire intime ou amoureux sur l’autre.
  • La violence conjugale peut être difficile à reconnaître parce qu’elle n’implique pas toujours des coups et des blessures.
  • Les enfants sont touchés par la violence conjugale, et ce, qu’ils aient vu et entendu des actes de violence ou non.
Naître et grandir

Révision scientifique : Pamela Alvarez-Lizotte, doctorante en travail social à l’Université Laval, membre du RAIV et conseillère en développement de la recherche au CRUJeF
Recherche et rédaction :
Équipe Naître et grandir
Septembre 2024

Photos : GettyImages/ArtistGNDphotography, Egoitz Bengoetxea Iguaran et SunnyVMD

Références

Note : Les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est donc possible qu’un lien devienne introuvable. Dans un tel cas, utilisez les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.

  • CLÉMENT, Marie-Ève et autres. La violence familiale dans la vie des enfants du Québec, 2018. Institut de la statistique du Québec, 2019. statistique.quebec.ca
  • CONROY, Shana. La violence conjugale au Canada, 2019. Statistique Canada, 2021. statcan.gc.ca
  • DERAICHE, C. et N. Gough. « Dynamique de la violence conjugale postséparation : une analyse terrain », dans Collectif, Pratiques et recherches féministes en matière de violence conjugale : coconstruction des connaissances et expertises. Québec, Presses de l’Université du Québec, 2022, p. 305-322.
  • DUBÉ, Myriam et autres. La violence conjugale post-séparation… une situation bien réelle. Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes. raiv.ulaval.ca
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Définition de la violence conjugale. 2024. quebec.ca
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Scénarios de protection. 2023. quebec.ca
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Loi sur la protection de la jeunesse. 2024. legisquebec.gouv.qc.ca
  • KATZ, Emma. Coercive control in children’s and mothers’ lives. Oxford, Oxford Academic, 2022, 408 p.
  • LAFOREST, Julie et Dominique GAGNÉ. La violence conjugale. Institut national de santé publique du Québec, 2018. inspq.qc.ca
  • LESSARD, G. et autres. « L’exposition à la violence conjugale », dans S. Dufour et M.-È. Clément, La violence à l’égard des enfants en milieu familial. Montréal, Les Éditions CEC, 2019, p. 77-90.
  • MINISTÈRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE. Criminalité au Québec : infractions contre la personne commises dans un contexte conjugal en 2021. 2023. cdn-contenu.quebec.ca
  • PARADIS, Louise. L’enfant exposé à la violence conjugale. Son vécu. Notre rôle. L’enfant, une éponge. 2012. numerique.banq.qc.ca
  • RECHERCHES APPLIQUÉES ET INTERDISCIPLINAIRES SUR LES VIOLENCES INTIMES, FAMILIALES ET STRUCTURELLES. Fiche synthèse : l’exposition à la violence conjugale. 2022. raiv.ulaval.ca
  • RECHERCHES APPLIQUÉES ET INTERDISCIPLINAIRES SUR LES VIOLENCES INTIMES, FAMILIALES ET STRUCTURELLES. Outil clinique pour repérer et agir avec des enfants et des jeunes exposés à la violence conjugale. 2022. aidejeunevc.ca
  • REGROUPEMENT DES MAISONS POUR FEMMES VICTIMES DE VIOLENCE CONJUGALE. Contrôle coercitif : ce n’est pas de l’amour… c’est du contrôle. 2023. maisons-femmes.qc.ca
  • SOS VIOLENCE CONJUGALE. sosviolenceconjugale.ca
  • STARK, E. « Une représentation des femmes battues : contrôle coercitif et défense de la liberté », dans M. Rinfret-Raynor et autres, Violences envers les femmes : réalités complexes et nouveaux enjeux dans un monde en transformation. Québec, Presses de l’Université du Québec, 2014, p. 33-52.

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