Les pleurs de bébé

Les pleurs de bébé
Aucun parent n’aime voir son bébé pleurer; c’est pourtant un moyen de communiquer ses besoins.



Comme ils ne parlent pas encore, pleurer est un moyen que les bébés peuvent utiliser pour exprimer la faim, la douleur ou l’ennui. Pleurer est un véritable réflexe « de survie » pour eux. De leur côté, les parents réagissent aux pleurs de leur bébé afin de répondre à ses besoins. Les pleurs et les réactions qu’ils entraînent représentent une forme de communication entre un bébé et ses parents.

Consultez un médecin ou une infirmière si votre bébé :
  • ne semble pas réagir comme à l’habitude, ne mange pas, ne dort pas;
  • fait de la fièvre, vomit ou a de la diarrhée;
  • présente des traces de sang dans ses selles;
  • pleure peut-être à cause d’une chute ou d’une blessure;
  • a des pleurs excessifs qui se poursuivent après l’âge de 3 mois;
  • ne prend pas de poids.

En cas de doute, n’hésitez pas à appeler Info-Santé (811).

Les pleurs de bébé : ce que dit la recherche

En moyenne, un nourrisson pleure deux heures par jour. Cela semble beaucoup, mais c’est parfaitement normal. Tous les bébés vivent des périodes pendant lesquelles ils pleurent davantage, et certains pleurent plus que d’autres. C’est, entre autres, une question de tempérament.

Toutes les recherches s’entendent pour dire que c’est pendant les trois premiers mois de vie que les bébés pleurent le plus et que leurs pleurs sont les plus intenses. Plusieurs études ont d’ailleurs montré que, pendant cette période, les pleurs suivent un certain modèle, appelé la courbe des pleurs :

  • Vers 2 à 3 semaines, le bébé commence à pleurer davantage;
  • Vers 6 à 8 semaines, les pleurs atteignent un sommet;
  • Puis, les pleurs diminuent peu à peu jusqu’à ce que l’enfant ait 12 semaines.

Pendant ces trois premiers mois, les pleurs commencent et arrêtent souvent soudainement, sans que l’on sache pourquoi, particulièrement en fin d’après-midi ou en début de soirée. Ainsi, il peut arriver qu’un parent ne parvienne pas à calmer son bébé qui pleure, même en le nourrissant, en s’assurant que sa couche est propre ou en le cajolant.

Il est important que vous ne doutiez pas de vos compétences parentales lors de ces crises de pleurs, qui durent en moyenne 45 minutes, mais qui peuvent aussi s’étirer jusqu’à 2 heures. Ces pleurs sont normaux; vous n’y êtes pour rien. L’essentiel est que votre enfant sente votre présence réconfortante.

Peut-on laisser pleurer un bébé?

Il n’est pas recommandé de laisser pleurer un bébé, même s’il n’est plus un nouveau-né. Un bébé ne pleure jamais pour manipuler. Son cerveau n’est pas encore assez développé pour lui permettre de manipuler ses parents. Il ne possède pas non plus la capacité de gérer ses émotions. Le laisser pleurer ne l’aide donc pas à apprendre quoi que ce soit.

Consoler votre bébé chaque fois qu’il pleure ne risque pas de le gâter. En fait, il deviendra plus calme et moins inquiet. Lorsque vous répondez rapidement et calmement à ses pleurs, votre bébé se sent aimé et en sécurité. Votre façon de réagir influence ainsi les premiers liens d’amour et l’attachement qui vous uniront à votre bébé.

Il faut donc faire attention aux idées reçues et aux conseils de votre entourage. Fiez-vous plutôt à votre instinct, car personne ne connaît votre bébé mieux que vous. Ne faites pas attention aux idées toutes faites comme celles-ci : « C’est bien, il développe ses poumons », « Ça forge son caractère », « Il te manipule pour rester dans tes bras », etc.

Laisser un bébé pleurer de façon prolongée sans le consoler pourrait avoir des conséquences négatives pour sa santé (ex. : augmentation de la fréquence cardiaque et de la pression sanguine, réaction de stress).

Évidemment, vous ne pouvez pas toujours répondre aux pleurs de votre bébé en le prenant dans vos bras, et ce, pour différentes raisons (ex. : votre autre enfant a besoin de vous, préparation du souper). Tentez alors d’apaiser votre bébé d’une autre manière, par exemple en lui parlant doucement, en échangeant un regard avec lui, en lui faisant une caresse, etc. L’important est de ne pas ignorer les pleurs de votre bébé.

Les principaux messages des pleurs

Certains scientifiques croient que les nourrissons ont différents pleurs pour exprimer la faim, l’ennui, l’inconfort, les coliques, le défoulement en fin de journée, la douleur, etc. Cette vision ne fait toutefois pas l’unanimité.

De plus en plus d’experts pensent que l’écoute des pleurs permet surtout de mesurer le niveau de détresse d’un bébé plutôt que de déterminer leur cause précise. Selon eux, plus le son ou l’intensité des pleurs est élevé, plus la détresse du bébé serait grande. Les parents sont d’ailleurs capables la plupart du temps de deviner les besoins de leur bébé selon le son des pleurs.

Les bébés peuvent exprimer différentes choses par leurs pleurs, dont :

Si vous ne savez pas pourquoi votre bébé pleure, prenez-le dans vos bras. Même si cela ne met pas fin à ses pleurs, il se sentira aimé et accompagné.
  • la faim;
  • la fatigue;
  • un inconfort (trop chaud ou trop froid, couche mouillée, rot à expulser);
  • le besoin d’être près de son parent;
  • le besoin de libérer ses émotions;
  • le besoin de stimulation;
  • la douleur.

Bien sûr, les bébés peuvent aussi pleurer lorsqu’ils sont malades (ex. : fièvre, congestion nasale, lésions cutanées, otite) ou ont une poussée dentaire.

Même sil est attaché dans un siège berçant ou un siège dauto, un enfant ne doit jamais être placé sur un appareil électroménager comme une sécheuse, parce quil peut facilement en tomber et subir de graves blessures.

Quelques pistes pour vous guider lorsque votre bébé pleure

Si ses pleurs commencent durant les boires :

Lorsqu’un bébé pleure, son visage peut parfois donner l’impression qu’il ressent de la douleur, sans que ce soit le cas.
  • Votre bébé n’a peut-être plus faim ou il a besoin de faire un rot.
  • Il a peut-être des coliques.
  • Il a peut-être envie de sucer plutôt que de manger. Allongez-le ou bercez-le en lui offrant une suce, s’il en prend déjà une, ou un petit jouet pour le distraire.
  • N’hésitez pas à prendre une pause pendant la tétée, à varier la position d’allaitement ou à lui offrir l’autre sein.

Si ses pleurs commencent quand il est dans vos bras :

  • Il est peut-être fatigué et il veut dormir.
  • Même si votre bébé a bu il y a à peine deux heures, il a peut-être encore faim, surtout s’il a une poussée de croissance. Ou encore il sent le besoin de boire pour soulager sa soif. Les bébés allaités veulent aussi parfois prendre le sein pour se réconforter.
  • Il a peut-être besoin de sucer pour combler son besoin de succion, qui est un réflexe de survie chez les nourrissons.
  • Il a besoin de stimulations (jeu, musique, jouet, massage, etc.).
  • Quelque chose le dérange : peut-être a-t-il froid? peut-être a-t-il chaud (touchez sa nuque pour le savoir)? sa couche est-elle souillée? souffre-t-il d’un érythème fessier? Selon le cas, rectifiez son habillement, changez sa couche ou soignez son érythème.

Si ses pleurs commencent quand il est seul dans son lit :

  • Il est peut-être entre deux cycles de sommeil. Déposez une main sur son ventre pour lui signaler votre présence et le rassurer. Cela pourra l’aider à se rendormir.
  • Il a peut-être assez dormi ou il a besoin de compagnie.
  • Il a besoin d’être rassuré.
  • Il a froid, soif ou chaud (touchez sa nuque pour le savoir), ou sa couche est peut-être mouillée.

Réussir à calmer votre bébé vous encouragera et vous rassurera. Par contre, quand vous ne parviendrez pas à le consoler, il est possible que vous éprouviez de l’angoisse et que vous manquiez de confiance en vous. Cependant, ces moments peuvent être utiles : ils vous aideront à prendre du recul, à réfléchir, à observer de mieux en mieux votre enfant, et donc à mieux le connaître et à répondre à ses besoins. Chaque enfant est unique, et ce qui peut apaiser un bébé ne réussit pas à en calmer un autre.

L’angoisse de séparation

Vers 8 à 12 mois, les enfants sont intimidés par les inconnus, alors qu’ils leur souriaient auparavant. De plus, ils pleurent dès que leurs parents disparaissent de leur champ de vision. Cette inquiétude est tout à fait normale et s’appelle « angoisse de séparation ». Pour savoir comment réagir face à cette nouvelle peur et faciliter l’entrée à la garderie si elle a lieu pendant cette période, consultez notre fiche sur l’angoisse de séparation.

Pleurs de coliques ou de fatigue?

Les coliques peuvent commencer 3 semaines après la naissance, mais elles surviennent plus souvent entre la 6e et la 8e semaine. Elles ont tendance à disparaître peu à peu vers le 4e mois.

Si tous ses besoins de base sont satisfaits, mais qu’il continue à pleurer, votre bébé souffre peut-être de coliques. Généralement, on peut parler de coliques lorsque l’enfant pleure plus de 3 heures sur 24, au moins 3 jours sur 7, pendant plus d’une semaine. Ce sont les pleurs qui bouleversent le plus les parents puisqu’ils se sentent impuissants à consoler leur bébé.

Cette période d’agitation est peut-être aussi, tout simplement, la seule façon que le bébé a de se défouler. C’est la fin de la journée, il est un peu grincheux et, par ses pleurs, il évacue les tensions accumulées au cours de la journée.

Pour en savoir plus, consultez notre fiche Les coliques (pleurs intenses).

Quoi faire quand votre bébé pleure?

Voici quelques suggestions pour vous aider à calmer les pleurs de votre bébé :

  • Parlez à votre bébé d’une voix douce et rassurante.
  • Prenez votre bébé dans vos bras le plus souvent possible. Les nourrissons aiment qu’on les porte bien serrés contre soi. Le contact humain leur permet de se relaxer, de se calmer, de réduire leur niveau de stress et de se sentir en sécurité. Au besoin, mettez votre bébé dans un porte-bébé ou une écharpe ajustable afin de reposer vos bras. Plusieurs études font mention d’une diminution significative des pleurs chez les bébés étant portés tous les jours. Ne craignez pas de gâter votre enfant en le prenant souvent dans vos bras.
  • Touchez-le, surtout sur le ventre. Un massage pour bébé peut le soulager et est tout à fait sûr. Vous pouvez aussi placer votre nouveau-né sur le dos, prendre ses pieds dans chacune de vos mains et le faire pédaler en pliant doucement ses jambes vers son ventre l’une après l’autre comme pour faire du vélo.
  • Donnez-lui un bain ou prenez un bain avec lui.
  • Offrez un environnement calme à votre enfant : éteignez ou tamisez les lumières, diminuez les sons ambiants et évitez les bruits intenses.
  • Évitez de trop déplacer votre bébé, car vous risquez de l’exciter davantage, tandis qu’il exprime peut-être son besoin de se reposer. Vous pouvez le mettre doucement dans son lit et rester près de lui en lui parlant et voir s’il arrivera à se calmer par lui-même. Après quelques minutes de pleurs dans son lit, il est conseillé de reprendre votre bébé dans vos bras.
  • Si vous l’allaitez, donnez-lui le sein, car de nombreux bébés se calment lorsqu’ils tètent le sein de leur mère.
Il est possible que votre bébé continue de pleurer malgré tous vos efforts pour l’apaiser. Ce n’est pas votre faute, et cela ne fait pas de vous un mauvais parent.
  • Faites du peau à peau avec votre bébé. Retirez les vêtements de votre bébé afin qu’il n’ait que sa couche et enlevez votre chandail. Prenez ensuite votre bébé dans vos bras contre votre poitrine et recouvrez son dos avec une couverture douce afin qu’il n’ait pas froid. Le peau à peau a un effet relaxant sur les bébés. La chaleur et le mouvement procurés par le contact peau à peau peuvent aussi le soulager en cas d’inconfort.
  • Bercez doucement votre bébé dans vos bras. L’effet combiné du mouvement et de la chaleur semble calmer certains bébés. Vous pouvez aussi installer votre bébé à plat ventre sur vos cuisses et le balancer délicatement en bougeant vos jambes. Si vous ne pouvez pas le prendre, vous pouvez essayer de l’installer dans un siège berçant ou dans une balançoire pour bébé.
  • Couchez votre bébé à plat ventre sur votre avant-bras en plaçant sa tête vers votre coude et en tenant ses fesses avec votre main. Faites quelques pas dans la pièce en le berçant doucement et massez si possible le bas de son dos.
  • Prenez votre bébé dans vos bras et repliez ses jambes, en le tenant sous les pieds et dans le dos. Cela pourrait aider sa digestion.
  • Sortez faire une promenade avec votre enfant dans le porte-bébé ou dans la poussette, car le mouvement apaise souvent les bébés. Vous pouvez aussi l’amener faire une balade en voiture. Si votre enfant pleure souvent à la même heure, essayez de sortir avant qu’il ne commence. Ainsi, l’habillage et l’installation dans le porte-bébé, la poussette ou le siège d’auto seront plus agréables pour vous deux.
  • Emmaillotez votre bébé. Certains bébés adorent cette sensation, tandis que d’autres ne l’aiment pas. Pour savoir comment faire, consultez notre fiche L’emmaillotage.
  • Restez calme. Les bébés sont très sensibles aux émotions des adultes qui prennent soin d’eux. Votre propre stress peut parfois aggraver les pleurs de votre enfant. Si vous éprouvez de la colère, ressentez de lépuisement et perdez votre sang-froid, il est important de demander de laide et de vous retirer. Reconnaître ses émotions permet déviter de semporter.
  • Pour vous détendre malgré les pleurs, prenez trois respirations profondes. Ensuite, vous pouvez chanter des berceuses ou écouter une musique douce et apaisante ou de simples sons réguliers et rythmés (ex. : vagues de l’océan, bruit de la pluie qui tombe). Cela pourrait même réussir à apaiser votre bébé. Lui parler doucement de vos émotions pourrait aussi aider à vous apaiser.
  • Respectez l’horaire de votre bébé. Par exemple, si les pleurs atteignent leur sommet à la même heure chaque fin de journée, essayez de ne pas prévoir des activités à cette heure précise et songez à prendre votre repas à l’avance.

Quand les pleurs deviennent difficiles à supporter

La plupart des parents vont éprouver, à un moment ou un autre, un sentiment de colère face aux pleurs incessants de leur bébé. Dans certains cas, lorsque les parents sont à bout de nerfs, ils peuvent secouer leur bébé afin de le faire taire. Les pleurs excessifs et persistants du nourrisson sont généralement à l’origine du syndrome du bébé secoué.

Même si vous nen pouvez plus dentendre votre bébé pleurer, ne le secouez jamais. Vous pourriez causer des lésions permanentes à son cerveau. Votre bébé pourrait même en mourir.

Que faire si vous sentez monter la pression?

Les bébés ressentent le stress et les tensions de leurs parents. Il peut donc être difficile pour un parent énervé de calmer son enfant.
  • Demandez à votre partenaire ou à quelqu’un de votre entourage de tenter de calmer votre bébé avant de vous épuiser complètement.
  • S’il n’y a personne d’autre que votre bébé et vous à la maison, posez-le dans son lit, puis sortez quelques instants de la pièce en fermant la porte, le temps de vous calmer. Retournez voir votre bébé toutes les 10 minutes pour vous assurer qu’il est toujours en sécurité.
  • Tentez d’entendre le moins possible les pleurs de votre bébé afin de retrouver votre calme. Vous pouvez, par exemple, écouter de la musique, mettre des bouchons ou ouvrir le téléviseur pendant quelques minutes.
  • Appelez une personne de confiance, qui pourra vous soutenir en vous écoutant ou en venant vous aider. Vous pouvez aussi appeler une ressource téléphonique comme Première ressource qui permet aux parents de consulter lors des moments difficiles, pour toute question concernant les relations parents-enfants. Les parents peuvent obtenir de l’aide par courriel, par clavardage et par téléphone au 514-525-2573 ou 1-866-329-4223. Le service téléphonique est offert les lundi et mardi de 8 h à 21 h et les mercredi, jeudi et vendredi de 8 h à 17 h.
  • Attendez d’être calme avant de reprendre votre bébé dans vos bras.

Pour en savoir davantage, consultez notre fiche Le syndrome du bébé secoué.

 

À retenir

  • Les pleurs sont plus importants vers la 6e à la 8e semaine de vie.
  • Consoler votre bébé chaque fois qu’il pleure ne le gâtera pas. Il se sentira plutôt aimé et en sécurité.
  • Si vous êtes à bout de nerfs, il est important de vous retirer et de demander de l’aide.

 

Naître et grandir

Révision scientifique : Marie-Ève Brouillette, infirmière clinicienne en périnatalité et consultante en lactation IBCLC
Recherche et rédaction :Équipe Naître et grandir
Mise à jour : Février 2022

 

Photos : iStock.com/Brosa et GettyImages/Sasiistock et FatCamera

 

Références et ressources

Note : Les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est donc possible qu’un lien devienne introuvable. Dans un tel cas, utilisez les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.

  • ABOUT KIDS HEALTH. Les pleurs. 2009. www.aboutkidshealth.ca
  • ABOUT KIDS HEALTH. Les pleurs : comment y remédier? 2009. www.aboutkidshealth.ca
  • BILODEAU, Mélanie. Soyez l’expert de votre bébé. Québec, Éditions Midi trente, 2019, 220 p.
  • CABANA, Michael D. et autres. « Newborn Daily Crying Time Duration », Journal of Pediatric Nursing, vol. 56, janvier 2021, p. 35-37. www.pediatricnursing.org
  • CHUM. Centre des naissances. Dossier d’information sur l’arrivée de bébé et comment en prendre soin. www.chumontreal.qc.ca
  • CHU SAINTE-JUSTINE. Les pleurs du bébé : capsule d’information et de prévention. 2020. promotionsante.chusj.org
  • DORÉ, Nicole et Danielle LE HÉNAFF. Mieux vivre avec notre enfant de la grossesse à deux ans, Guide pratique pour les mères et les pères. Institut national de santé publique du Québec, Québec. www.inspq.qc.ca
  • ENCYCLOPÉDIE SUR LE DÉVELOPPEMENT DES JEUNES ENFANTS. Pleurs. 2017. www.enfant-encyclopedie.com
  • INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC (INSPQ). Adaptation à la parentalité. 2019. www.inspq.qc.ca
  • LUDINGTON-HOE, Susan M. et autres. « Infant crying: nature, physiologic consequences, and select interventions », Neonatal Network, vol. 21, no 2, mars 2002, p. 29-36. pubmed.ncbi.nlm.nih.gov
  • PREMIÈRE RESSOURCE – Aide aux parents. 1 866 329-4223. premiereressource.com
  • SOCIÉTÉ CANADIENNE DE PÉDIATRIE. Soins de nos enfants. Les coliques et les pleurs. 2021. soinsdenosenfants.cps.ca
  • SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE PÉDIATRIE. Pas à pas en pédiatrie. Pleurs excessifs du nourrisson. 2017. pap-pediatrie.fr
  • VEKEMANS, Gaëlle. L’ABC de la santé des enfants. 2e éd., Montréal, Les Éditions La Presse, 2016, 413 p.
  • WOLKE, Dieter et autres. « Systematic Review and Meta-Analysis: Fussing and Crying Durations and Prevalence of Colic in Infants », The Journal of Pediatrics, vol. 185, avril 2017, p. 55-61. www.jpeds.com

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