Adoption: développement et attachement de l'enfant adopté

Adoption: développement et attachement de l'enfant adopté
Adopter un enfant demande de la préparation. À quoi s’attendre? Comment favoriser le développement du lien d’attachement?


L’adoption est une réalité complexe. En général, les enfants placés en adoption ont vécu dans des conditions difficiles. Ils sont donc plus vulnérables et leur développement peut être différent de celui des autres enfants. Lorsque ces enfants bénéficient d’un environnement sécurisant, aimant et chaleureux, la majorité réussit à apaiser la plupart de leurs traumatismes pour avoir une vie la plus heureuse et normale possible.

Les types d’adoptions

Au Québec, il existe trois types d’adoptions.

L’adoption régulière

Elle est possible lorsque l’enfant est orphelin, qu’il est abandonné par ses parents biologiques ou que ceux-ci ont renoncé à leurs droits et qu’aucun membre de la famille élargie ne peut l’adopter.

Ce type d’adoption s’effectue par l’entremise des services d’adoption des CISSS et des CIUSSS. Puisque les cas sont rares, le délai d’attente pour adopter peut varier de 5 à 10 ans, et même plus, selon les régions.

L’adoption en banque mixte

Balado: Adopter un enfant au Québec. L’histoire de Pierre

Elle concerne l’enfant sous les services de la Direction de la protection de la jeunesse qui est confié à une famille d’accueil. Celle-ci s’engage à adopter l’enfant ou à lui assurer un milieu stable jusqu’à sa majorité si un retour dans sa famille biologique s’avère impossible.

Selon des statistiques datant de quelques années, 87 % des enfants placés en banque mixte demeurent dans leur nouvelle famille. Le délai pour accueillir un enfant en banque mixte varie de quelques mois à 3 ans.

L’adoption internationale

Elle est envisagée lorsque l’enfant ne peut pas être élevé dans sa famille d’origine ou élargie ou que l’adoption dans son pays est impossible. Un nombre grandissant de pays refusent désormais que les orphelins soient adoptés à l’étranger afin de favoriser l’adoption nationale. C’est pourquoi l’adoption internationale est de moins en moins fréquente au Québec. Par ailleurs, le gouvernement du Québec a annoncé en novembre 2024 que l’ouverture de nouveaux dossiers pour l’adoption internationale était temporairement suspendue.

Les démarches d’adoption internationale doivent être réalisées par l’entremise d’un organisme agréé, sauf dans de rares cas (ex. : adoption intrafamiliale). Contrairement aux deux autres types d’adoptions, les démarches ne sont pas gratuites : les coûts atteignent souvent quelques dizaines de milliers de dollars.

Délais d’adoption

Les délais d’adoption varient beaucoup parce que les enfants sont confiés à des familles dont le profil correspond à leurs besoins, et non selon l’ordre d’inscription des postulants, comme c’était le cas auparavant.

Les traumatismes vécus par les enfants en adoption

Un enfant peut présenter des manifestations post-traumatiques s’il a vécu des expériences adverses durant les 1 000 premiers jours de sa vie, même s’il n’en a pas de souvenirs conscients.

Les traumatismes vécus par les enfants confiés en adoption ne sont pas toujours liés à de la maltraitance active (menaces, cris, coups, abus sexuels, etc.). En fait, la plupart ont vécu de la maltraitance passive, c’est-à-dire que les adultes responsables d’eux n’ont pas répondu à leurs besoins de base (nourriture, soins, amour, éducation, protection).

Les enfants confiés en adoption peuvent donc souffrir de malnutrition, de problèmes de santé, de carences affectives et d’un manque de stimulation. Cela entraîne en général des retards de croissance et de développement. Beaucoup de ces enfants développent une peur exagérée du rejet ainsi que la crainte d’être de nouveau abandonnés s’ils déçoivent leurs parents.

Par ailleurs, les habitudes de vie néfastes de certaines mères durant leur grossesse (ex. : alcoolisme, toxicomanie, malnutrition, stress, exposition à des maladies infectieuses comme le sida ou l’hépatite) peuvent laisser des séquelles au cerveau ou avoir fragilisé certaines fonctions cérébrales du bébé. Les atteintes sont souvent temporaires. Lorsqu’elles sont permanentes, elles peuvent entraîner des troubles d’apprentissage, des troubles du comportement, des troubles affectifs ou cognitifs ou encore des handicaps physiques.

La préparation psychologique à l’arrivée de l’enfant

Comme adopter un enfant est complexe, les parents qui veulent adopter doivent se renseigner avant d’entamer les démarches. L’adoption est une action de protection de l’enfant qui a survécu à des épreuves, à des abandons et à des négligences. À son arrivée dans sa nouvelle famille, celui-ci est en quelque sorte en convalescence.

Ce n’est pas seulement l’âge de l’enfant à son arrivée dans la famille qui détermine si l’adaptation et l’attachement seront plus ou moins difficiles pour lui, et exigeants pour les parents. L’intensité et la sévérité des conditions difficiles qu’il a vécues avant son adoption ont aussi une influence. Ainsi, un enfant placé à l’âge de 5 ans peut avoir beaucoup moins souffert, être moins traumatisé et conserver un meilleur potentiel à s’attacher à ses nouveaux parents qu’un bébé de 14 mois très sévèrement maltraité, souvent négligé et séparé de plusieurs donneurs de soins.

Peu importe l’âge de l’enfant, les parents qui l’accueillent doivent chercher à soigner ses traumatismes sans espérer les guérir totalement. Cela requiert une grande disponibilité physique, psychologique et affective. Les parents doivent mettre en place les meilleures conditions pour que l’enfant reprenne un développement le plus normal possible.

La période d’adaptation et d’attachement

Activité entre un enfant adopté et ses parents

Lors de l’arrivée de l’enfant dans sa nouvelle famille, il est primordial que les nouveaux parents profitent de toute la durée de leur congé parental. La période d’adaptation et d’attachement s’échelonne en moyenne sur 1 an et se divise en 6 phases. Ces phases peuvent être plus courtes ou plus longues selon l’âge de l’enfant, mais surtout selon son profil et ses besoins spécifiques.

1. Le choc de la rencontre (dure environ 3 jours) : L’arrivée de l’enfant dans sa nouvelle famille est stressante. Cette première rencontre peut donner lieu à toutes sortes d’émotions et de réactions de la part de l’enfant et des parents, mais elles ne perdureront pas.

2. L’apprivoisement (dure environ 3 semaines) : L’enfant apprivoise ses nouveaux parents et son nouvel environnement. Il doit avant tout se sentir en sécurité, avec un horaire prévisible où le stress est réduit au minimum. Seuls les parents doivent répondre aux besoins fondamentaux de l’enfant (nourrir, bercer, consoler, changer la couche). Les contacts avec d’autres personnes et le monde extérieur doivent être limités. L’entourage peut jouer un rôle de soutien aux nouveaux parents en assurant une écoute attentive et de l’aide concrète.

3. L’adaptation (dure environ 3 mois) : C’est le moment d’instaurer une routine sécurisante. Grâce à la présence rassurante de ses nouveaux parents, l’enfant se crée de nouveaux repères, accepte peu à peu sa nouvelle routine et développe un sentiment de sécurité et de confiance envers sa nouvelle famille. Les adultes apprennent leur rôle de parent.

4. L’attachement (après 8 ou 9 mois environ) : Une fois mieux adaptés, l’enfant et les parents sont maintenant plus disponibles pour solidifier le lien d’attachement entre eux. La confiance se construit lorsque les parents répondent aux besoins d’apaisement et d’interaction de l’enfant et qu’une proximité physique et affective existe entre eux. Cette confiance est la base du lien d’attachement.

5. Le sevrage (au plus tard après un an) : Dès la période d’adaptation passée, les parents instaurent petit à petit des périodes de séparation en faisant garder l’enfant. Il doit comprendre que ses parents reviendront et que chaque départ n’est pas un abandon ou un rejet.

6. L’équilibre (après environ un an) : La famille trouve un certain équilibre, même si l’enfant aura toujours besoin de soins particuliers afin de se développer pleinement.

Enfant en âge d’aller à l’école

Pour un enfant d’âge scolaire, les étapes du choc, de l’apprivoisement et du début de l’adaptation doivent idéalement se faire en famille. L’enfant doit avant tout commencer à se sentir en sécurité dans sa nouvelle famille avant d’explorer d’autres environnements. L’entrée à l’école se fait ensuite de manière progressive en tenant compte de la santé physique et émotionnelle de l’enfant.

L’attachement chez les enfants adoptés

Les premiers temps, les enfants adoptés perçoivent la vie comme étant imprévisible et dangereuse, et les adultes comme étant peu fiables en raison de leur passé difficile. Pour se protéger, ces enfants peuvent avoir développé un attachement insécurisé.

Un enfant qui présente un attachement insécurisé ne communiquera pas ses besoins, ses émotions, ses détresses ou ses joies de la même façon qu’un enfant qui a un attachement sécurisé.

Il existe trois styles d’attachement insécurisé :

  • Ne pas laisser paraître ses besoins, et même refuser de connecter physiquement et émotivement avec ses nouveaux parents (l’enfant évitant ou le petit solo)
  • Être en demande constante d’attention et de connexion (l’enfant anxieux ou le petit velcro)
  • Se montrer agressif pour forcer l’attention des adultes ou la connexion avec eux (l’enfant ambivalent ou désorganisé ou le petit sumo)

Les parents doivent connaître les manifestations des styles d’attachement insécurisé pour être capables de décoder les besoins de leur enfant et l’amener à développer un style d’attachement plus sécurisé. Cela lui permettra de reprendre son développement pour aller au bout de son potentiel.

Comment créer le lien d’attachement

Le lien d’attachement parent-enfant est plus qu’un sentiment d’amour. C’est un lien de confiance, de sécurité physique et affective, de réciprocité, de communication affective et d’engagement. Les parents peuvent le construire grâce à de petits gestes au quotidien, tels que :

  • réduire le plus possible toute forme de stress dans la vie familiale, car le stress chez le parent et chez l’enfant nuit au sentiment de confiance et de sécurité nécessaire à l’attachement;
  • adopter une attitude joyeuse, calme et affectueuse lors des soins;
  • établir un contact visuel lors de toutes les interactions avec l’enfant;
  • toujours répondre rapidement aux demandes de connexion de l’enfant lorsqu’il manifeste de l’inconfort ou de la détresse (faim, soif, douleur, peur) et lorsqu’il a besoin d’attention pour jouer, apprendre ou acquérir de nouvelles habiletés (ex. : marcher, parler, dessiner, reconnaître des animaux);
Un enfant s’attache à l’adulte qui assure le mieux son bien-être physique et émotionnel de façon chaleureuse, prévisible et constante.
  • être apaisant, rassurant, patient et sensible avec l’enfant;
  • parler à l’enfant en le regardant dans les yeux avec intérêt et gentillesse, même lorsque c’est pour le reprendre s’il fait quelque chose de dangereux ou d’inapproprié;
  • interagir avec l’enfant en lui parlant souvent (ex. : décrire ce que l’on fait et pourquoi) et en jouant avec lui;
  • favoriser petit à petit les contacts physiques (ex. : faire un massage après le bain, faire des chatouilles, porter le bébé et pratiquer le contact peau à peau), en tenant compte des réactions post-traumatiques possibles si l’enfant a été maltraité;
  • éviter de regarder la télévision (et les autres écrans) durant les premiers mois pour privilégier les activités familiales et la lecture, peu importe l’âge de l’enfant;
  • faire attention à leur utilisation des écrans pour ne pas envoyer le message que leur téléphone est plus précieux et intéressant que l’interaction avec l’enfant;
  • aider l’enfant à réguler ses émotions en gardant une attitude calme, patiente et des gestes doux, même s’il est en colère ou en crise. Ne jamais être menaçant, car cela peut réactiver de mauvais souvenirs;
  • favoriser des activités de discussion, de jeux et de connexions physiques et affectives sans écran. Quelques exemples : jouer au ballon face à face, explorer la nature en touchant aux textures, danser ensemble sur de la musique, se laisser « maquiller » par l’enfant en le regardant dans les yeux, cuisiner ensemble, faire des devinettes en imitant des animaux, jouer au « bébé » en faisant semblant de nourrir l’enfant, le bercer en chantant des comptines.

Le lien d’attachement peut prendre plusieurs mois avant de se développer, la patience est donc de mise. Les premiers temps, il n’est pas rare que les adultes se sentent davantage comme des donneurs de soins que des parents.

Les problèmes de développement

Enfant adopté qui joue avec ses parents

La majorité des enfants confiés en adoption présente un retard de développement physique. Selon des études internationales, presque tous les enfants adoptés avant 18 mois sont très en dessous des courbes normales de poids, de taille et de périmètre crânien.

Par ailleurs, les expériences adverses qu’ils ont vécues (ex. : négligence, perte de la mère, abus) retardent le développement de leurs capacités motrices, cognitives, langagières, affectives et sociales. Par exemple, les besoins affectifs d’un enfant adopté de 3 ans correspondent de façon générale à ceux d’un enfant de 18 ou de 24 mois.

La plupart des enfants rejoignent la courbe normale de croissance dans les trois mois suivant leur adoption. Et une bonne partie d’entre eux rattrapent leurs retards moteurs et cognitifs au cours des années suivantes.

Cependant, les retards affectifs et sociaux sont plus subtils et peuvent perdurer. Un enfant présente un écart entre son âge chronologique et sa maturité affective lorsqu’il ne se comporte pas exactement comme la majorité des enfants du même âge. Dans ce cas, les parents doivent adapter leurs méthodes éducatives selon l’âge émotionnel de leur enfant. Dans un cas sur quatre, les retards affectifs et sociaux persistent jusqu’à l’adolescence et, parfois, jusqu’à l’âge adulte.

Surtout, il faut éviter de comparer les enfants adoptés aux enfants biologiques. Par exemple, un bébé de 9 mois qui ne tient pas la position assise pourrait avoir une atteinte neurologique, alors que ça peut être le résultat de la négligence chez un enfant adopté qui aurait passé plusieurs mois dans son lit sans être stimulé.

Ces enfants connaissent aussi souvent des phases de régression plus intenses que chez les enfants biologiques. En situation de stress ou dans une période de changement (ex. : arrivée d’un autre enfant dans la famille, entrée à l’école, déménagement), ils peuvent temporairement régresser. Par exemple, ils peuvent recommencer à faire pipi au lit ou à faire des crises d’insécurité. Cela fait partie de la « normalité » des enfants adoptés.

Retards de développement : les facteurs de risque

Certains aspects de la vie de l’enfant avant son adoption peuvent expliquer les retards de développement, dont :
  • le type de garde (famille biologique désorganisée, changements fréquents de famille d’accueil, orphelinat);
  • la qualité et la quantité des soins reçus (ex. : alimentation, stimulation, réconfort, constance);
  • les expériences répétées de négligence ou de maltraitance;
  • le pays d’origine (état de santé de la population, qualité des soins apportés aux enfants orphelins);
  • la violence conjugale, le stress chronique, le manque de soins prénataux, la consommation d’alcool ou de drogue par la mère durant la grossesse;
  • l’âge avancé de l’enfant lors de l’adoption si celui-ci a été exposé longtemps à des conditions défavorables.

Les défis liés au comportement

Les premiers mois dans leur nouvelle famille, les enfants peuvent avoir un sommeil fragile, des problèmes d’alimentation ou des accès de colère. Les relations avec les autres enfants peuvent aussi être difficiles. Une approche différente, qui tient compte des séquelles de leur passé, est nécessaire pour gérer ces défis.

Il faut en effet éviter de confondre une réaction normale de transition ou de deuil avec un trouble de comportement. Ainsi, un enfant qui refuse d’aller au lit craint peut-être que ses nouveaux parents ne soient plus là à son réveil. Cette inquiétude disparaîtra au fur et à mesure que la confiance s’établira au sein de la famille.

La discipline doit aussi être abordée de façon particulière. Devant un geste dérangeant, il peut être nécessaire d’éviter certaines recommandations habituelles. Le retrait et l’ignorance intentionnelle, par exemple, peuvent amplifier la peur du rejet et de l’abandon chez l’enfant. Il faut aussi éviter de faire des gestes brusques, d’élever la voix ou de menacer, même verbalement, au risque de fragiliser le lien d’attachement et de confiance en construction.

L’aide de professionnels ou de groupes de parents adoptifs est recommandée pour apprendre les méthodes éducatives appropriées. Il existe de nombreuses ressources pour les parents adoptants (voir la liste ci-dessous).

Certains enfants peuvent conserver des comportements et des émotions difficiles à long terme. Toutefois, les enfants qui reçoivent l’aide et le réconfort dont ils ont besoin vont en général surmonter leurs traumatismes. Ils vont ainsi pouvoir se développer et s’épanouir pleinement.

À retenir

  • L’adoption est une forme de parentalité qui demande des connaissances particulières avec lesquelles il importe de se familiariser avant d’entamer le processus d’adoption.
  • Le lien d’attachement parent-enfant peut prendre plusieurs mois avant de se développer, car il faut surmonter les blessures d’attachement vécues par l’enfant dans le passé.
  • Les enfants adoptés vont en général surmonter leurs traumatismes et reprendre un bon développement grâce aux soins sécurisants, à la patience et à l’amour inconditionnel de leurs nouveaux parents.
Naître et grandir

Révision scientifique : Johanne Lemieux, travailleuse sociale et thérapeute spécialisée en adoption
Recherche et rédaction :
Équipe Naître et grandir
Avril 2025

Photo : GettyImages/stock_colors, miniseries et AleksandarGeorgiev

Ressources et références

Note : Les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est donc possible qu’un lien devienne introuvable. Dans un tel cas, utilisez les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.

Soutien et ressources pour les parents

  • ASSOCIATION DES PARENTS ADOPTANTS DU QUÉBEC. Ressource d’aide et d’accompagnement pour les parents adoptants. parentsadoptants.org
  • ASSOCIATION EMMANUEL. Ressource d’accompagnement et de soutien pour les familles qui adoptent un enfant ayant un handicap ou des besoins particuliers. emmanuel.qc.ca
  • CENTRE INTÉGRÉ UNIVERSITAIRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE LA CAPITALE-NATIONALE. Adoption et famille d’accueil. ciusss-capitalenationale.gouv.qc.ca
  • CLINIQUE D’ADOPTION ET DE SANTÉ INTERNATIONALE DU CHU SAINTE-JUSTINE. Évaluation et prise en charge d’enfants adoptés à l’étranger. chusj.org
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. À propos de l’adoption au Québec. 2024. quebec.ca
  • GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Adoption internationale. 2024. quebec.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX. Programme gratuit de formation en ligne « L’adoption internationale : les premiers pas de ma réflexion ». teluq.ca
  • PETALES QUÉBEC. Service d’écoute, de soutien et d’accompagnement destiné aux familles qui vivent des enjeux d’attachement ou de traumas complexes. petalesquebec.org
  • PREMIÈRE RESSOURCE. Service de consultation psychosociale gratuite et confidentielle pour les parents. premiereressource.com

Livres pour les parents

  • CHICOINE, Jean-François et autres. L’enfant adopté dans le monde (en quinze chapitres et demi). Montréal, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2003, 480 p.
  • GRAY, Deborah D. Attachement et adoption : outils pratiques pour les professionnels et parents. Louvain-la-Neuve, Édition De Boeck, 2023, 335 p.
  • LEMIEUX, Johanne. La normalité adoptive : les clés pour accompagner l’enfant adopté. Montréal, Les Éditions Québec Amérique, 2013, 508 p.
  • LEMIEUX, Johanne. L’adoption : mieux vivre les trois premières années après l’arrivée de l’enfant. Montréal, Les Éditions Québec Amérique, 2016, 608 p.
  • NEWTON VERRIER, Nancy. L’enfant adopté : comprendre la blessure primitive. Louvain-la-Neuve, Édition De Boeck, 2019, 224 p.
  • ROUQUES, Delphine. L’adoption : comprendre l’enfant, accompagner les parents. Paris, Éditions Albin Michel, 2008, 400 p.
  • VOYER-LÉGER, Catherine. Adoption : les douze travaux de la banque mixte. Montréal, Parfum d’encre, 2024, 288 p.
  • WINFREY, Oprah et Bruce D. PERRY. Que vous est-il arrivé? Comprendre les traumatismes du passé pour reconstruire nos vies. Paris, Michel Lafon, 2021, 410 p.

Livres pour les enfants

  • CHAPOUTON, Anne-Marie et Amélie DUFOUR. Une famille pour Duvet. Montrouge, Bayard Jeunesse, 2022, 30 p.
  • KARST, Patrice et Johanne LEW-VRIETHOFF. Le fil invisible. Markham, Scholastic Canada, 2019, 40 p.
  • PEARSON, Julie et Manon GAUTHIER. Elliot. Montréal, Éditions Les 400 coups, 2014, 32 p.
  • PERRY, Latashia M. et Bea JACKSON. Des cheveux comme les miens. G Publishing, 2016, 32 p.
  • PERRY, Latashia M. et Bea JACKSON. Un teint comme le mien. G Publishing, 2019, 24 p.

Références

  • DELAGE, Michel et Alexandrine SANCHEZ. « Les liens d’attachement dans les familles adoptives », Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux, vol. 49, 2012, p. 71-89. shs.cairn.info
  • FÉDÉRATION DES PARENTS ADOPTANTS DU QUÉBEC. « Adopter en 2016 : mythes et réalités », La Cigogne, automne 2016, 36 p. drive.google.com
  • LES SOINS AUX ENFANTS NÉO-CANADIENS. L’adoption internationale : favoriser l’attachement entre les parents adoptifs et leur enfant. 2023. enfantsneocanadiens.ca
  • MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DU QUÉBEC. Pour l’intérêt supérieur de l’enfant : l’ouverture de nouveaux dossiers d’adoption internationale est suspendue. 2024. newswire.ca
  • VAN IJZENDOORN, Marinus H. et autres. « Adoption and cognitive development: A meta-analytic comparison of adopted and nonadopted children’s IQ and school performance », Psychological Bulletin, vol. 131, no 2, 2005, p. 301-316. pubmed.ncbi.nlm.nih.gov

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