En manchettes: Casques de vélo – Politiques publiques et tout-petits – Contrôle de l’asthme – À écouter

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En manchettes: Casques de vélo – Politiques publiques et tout-petits – Contrôle de l’asthme – À écouter

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Choisir et ajuster le casque de vélo, tout-petits et politiques publiques, bienfaits d’un contrôle rapide de l’asthme, balado

Comment bien choisir et ajuster un casque de vélo pour enfant?
Familles et petite enfance : un premier portrait des politiques publiques au Québec
Asthme : un contrôle rapide pour un espoir de rémission
Balado : Familles à la une

SÉCURITÉ

Comment bien choisir et ajuster un casque de vélo pour enfant?

Mai est le mois du vélo, mais bien des enfants roulent à bicyclette depuis quelques semaines déjà. Savez-vous d’ailleurs comment bien choisir et ajuster le casque de vélo de votre enfant pour qu’il soit en sécurité?

Voici quelques conseils :

Choisissez le casque selon l’âge de votre enfant. Il existe des modèles particuliers, plats à l’arrière, pour les poupons de 3 mois et plus, recommandés pour les promenades à bord d’une remorque à vélo. Vers 4 ou 5 ans, vous pouvez choisir un modèle plus standard.
Changez de casque après 5 ans, car le plastique dont il est fait pourrait être moins résistant en raison, entre autres, de l’exposition aux rayons UV. Changez aussi le casque si votre enfant est tombé dessus.
N’achetez pas de casque de seconde main, car il peut avoir subi des impacts.
La distance entre les sourcils et le bord du casque doit être de la largeur d’un doigt (placé à l’horizontale) afin de bien protéger le front.
Le casque, même détaché, ne doit pas bouger lorsque votre enfant secoue la tête en disant « oui » et « non ».
Vous devez pouvoir passer un doigt entre la sangle et le menton.
Les oreilles ne doivent pas être couvertes par le casque.
Sur les côtés, les jonctions des sangles en forme de Y doivent tomber au niveau de l’articulation de la mâchoire.

Sources : Vifa et Le Soleil

SOCIÉTÉ

Familles et petite enfance : un premier portrait des politiques publiques au Québec

L’Observatoire des tout-petits a récemment dévoilé le tout premier Portrait québécois sur les politiques publiques concernant les conditions de vie des familles et le développement des tout-petits.

Cet ouvrage dresse un état de situation des principales politiques publiques municipales, provinciales et fédérales dont bénéficient les tout-petits et leur famille au Québec. On y retrouve aussi des informations sur l’efficacité de ces mesures, de même que des exemples d’initiatives qui pourraient améliorer les politiques d’ici.

Le Portrait des politiques publiques 2021 présente une dizaine de thématiques dont l’accès aux services périnataux, à un suivi médical, à des services de garde de qualité et à des logements abordables ainsi que le dépistage des difficultés de développement et la sécurité alimentaire. Une section est également consacrée aux tout-petits des Premiers peuples du Québec : ceux des premières Nations vivant dans leur communauté et ceux vivant en milieu urbain.

Le Portrait met aussi en lumière les inégalités qui persistent malgré les nombreuses politiques publiques au Québec. Par exemple, 1 famille sur 10 avec au moins un tout-petit vit encore de l’insécurité alimentaire, et 13,6 % des familles habitent dans un logement non abordable, et 12 % dans un logement de taille insuffisante.

Pour lire le rapport : tout-petits.org

Source : Observatoire des tout-petits

SANTÉ

Asthme : un contrôle rapide pour un espoir de rémission

Un contrôle précoce et soutenu de l’asthme chez les enfants pourrait augmenter les chances de rémission et peut-être même de guérison, signale une étude québécoise.

En comparant 48 687 petits Québécois nés entre 1990 et 2013 et ayant reçu un diagnostic d’asthme avant 5 ans, les chercheurs ont remarqué que ceux dont la maladie était rapidement contrôlée s’en sortaient mieux que ceux qui avaient toujours des crises d’asthme répétées deux ans après le diagnostic.

De fait, les tout-petits dont l’asthme demeurait mal contrôlé après les deux premières années avaient 52 % moins de chance d’être en rémission. Un asthmatique est considéré en rémission si, après deux ans, il ne prend plus de médicaments, n’est plus hospitalisé et n’a plus besoin d’aller voir le médecin en raison de son asthme.

L’asthme, maladie chronique la plus fréquente chez l’enfant, affecte surtout les tout-petits d’âge préscolaire. Bien que les symptômes de l’asthme disparaissent chez plus de la moitié d’entre eux quand ils atteignent l’âge scolaire, nombreux sont ceux qui vont souffrir d’une diminution irréversible de la fonction des poumons dès l’âge de 6 ans.

Il serait donc possible de changer le cours de la maladie si les professionnels de la santé et les parents travaillent ensemble pour un contrôle précoce et soutenu de l’asthme, et ce, dès la première crise.

Source : CHU Sainte-Justine