L'alimentation autonome chez bébé

L'alimentation autonome chez bébé
Quand bébé est prêt à manger, les purées ne sont pas obligatoires, vous pouvez essayer l’alimentation autonome.


Qu’est-ce que l’alimentation autonome?

L’alimentation autonome est une approche qui consiste à permettre au bébé de participer activement à son alimentation et d’avoir un contact direct avec les aliments. Cette approche est aussi appelée « diversification alimentaire menée par l’enfant » (DME).

Selon cette approche, les parents ne nourrissent pas leur bébé à la cuillère. C’est plutôt le bébé qui prend les aliments avec ses mains pour les porter lui-même à sa bouche, qu’il s’agisse de purée (par exemple, dans une cuillère préremplie) ou de morceaux.

Pourquoi choisir l’alimentation autonome?

Il est possible de bien nourrir son enfant autant avec la méthode traditionnelle (purées) qu’avec l’alimentation autonome. C’est un choix personnel. Ce texte peut vous aider à prendre une décision éclairée.

L’alimentation autonome comporte plusieurs avantages. Par exemple, elle permet à un enfant de :

Même si votre bébé n’a pas de dents, il peut mâchouiller les aliments avec ses gencives.
  • découvrir les couleurs, les textures, les saveurs, les odeurs et les formes de différents aliments. Manipuler les aliments lui offre des expériences sensorielles stimulantes et enrichissantes;
  • connaître les aliments sous leur forme entière plutôt que de passer par les différentes textures des purées (ex. : lisse, plus épaisse, grumeleuse, petits morceaux). Des études suggèrent que les enfants seraient plus ouverts et moins difficiles avec la DME;
  • manger les mêmes aliments que les autres membres de sa famille, ce qui facilite et accélère la préparation des repas. Cependant, il arrive que certains repas familiaux ne conviennent pas à un bébé (ex. : viandes marinées du marché; charcuteries; plats salés, épicés ou sucrés; friture; recettes avec alcool). Dans ces cas, il faut prévoir un autre repas pour le bébé;
  • manger avec sa famille. Les familles qui pratiquent l’alimentation autonome ont plus tendance à manger ensemble;
  • développer sa motricité fine et sa coordination oeil-main et main-bouche;
  • respecter ses signaux de faim plus naturellement, car le bébé mange à son rythme et à sa faim. Lorsqu’on le nourrit à la cuillère, il peut parfois être tentant de le forcer à manger plus.

L’alimentation autonome convient parfois mieux à certains bébés qui refusent les purées. En plus, elle répond au besoin d’autonomie de l’enfant.

La DME permet aussi aux parents de manger avec leur bébé pendant qu’il se nourrit seul. Des études ont d’ailleurs démontré que les repas se déroulaient dans une ambiance plus calme et moins stressante pour les parents.

Quelques inconvénients de la DME

Malgré tous ces avantages, la DME comporte tout de même certains inconvénients :

  • Certains menus ou aliments prévus au menu ne conviennent pas à un bébé. Il faut donc prévoir un repas adapté.
  • Un bébé qui mange avec ses mains, c’est salissant. Il risque donc d’y avoir de la nourriture sur le plancher, sur ses vêtements et dans ses cheveux.
  • Il y a un risque de gaspiller plus de nourriture. L’idéal est donc de servir de petites quantités à la fois.
  • Les repas sont plus longs, car il faut donner le temps à l’enfant de manger à sa faim.

Comment savoir si un bébé est prêt pour la DME?

Un bébé est prêt pour l’alimentation autonome vers 6 mois, car, à cet âge, il contrôle mieux les mouvements de sa bouche et de sa langue.

Avant cet âge, un bébé peut manger des aliments complémentaires sous forme de purées s’il ne semble plus être satisfait avec le lait uniquement. Aucun aliment complémentaire ne devrait toutefois lui être offert avant l’âge de 4 mois, car cela peut nuire à sa santé.

Pour commencer l’alimentation autonome, le bébé doit :

  • bien tenir sa tête;
  • tourner la tête de chaque côté;
  • bouger la tête de haut en bas;
  • porter seul des aliments à sa bouche (s’il porte des jouets à sa bouche pour les mâchouiller, il est prêt);
  • se tenir assis sans aide afin de pouvoir rester à l’aise dans sa chaise haute pendant au moins 10 à 15 minutes;
  • s’intéresser aux aliments.

Contre-indications possibles

L’alimentation autonome peut ne pas convenir à tous les bébés. Mieux vaut consulter un professionnel de la santé (ex. : médecin, nutritionniste) avant d’introduire les aliments complémentaires selon les principes de la DME si un bébé présente une des conditions suivantes :

  • Court frein lingual (ce n’est pas une contre-indication, mais simplement une piste à prendre en considération si le bébé présente des difficultés avec l’introduction des aliments complémentaires);
  • Malformation dans sa bouche;
  • Retards ou troubles du développement;
  • Problèmes de coordination motrice.

Dans tous les cas, il est recommandé de laisser l’enfant explorer les aliments avec ses mains et sa bouche dès que les risques sont écartés.

Bébé prématuré

Un bébé prématuré peut manger selon les principes de la DME. Il faut toutefois suivre son développement moteur et se fier à son âge corrigé, et non à son âge réel. Si le bébé respecte tous les critères pour entreprendre la DME, il peut se nourrir seul.

Un bébé qui se nourrit seul mange-t-il assez?

Au début, le bébé a tendance à jouer davantage avec la nourriture que de la manger. Cette phase d’exploration est normale. Il se familiarise avec les odeurs, les textures, les formes et les couleurs des aliments. Il exerce aussi ses habiletés motrices.

Il ne faut donc pas s’inquiéter que le bébé ne mange pas beaucoup au début. En effet, le lait maternel ou la préparation pour nourrissons est l’aliment principal lorsqu’il a 6, 7 et 8 mois. Durant cette période, les aliments solides sont « complémentaires » au lait.

Lorsque le bébé vieillit, les aliments prennent petit à petit plus de place. Ils comblent près de la moitié de ses besoins énergétiques de l’âge de 9 à 12 mois.

Sur le plan de la nutrition et de la croissance, plusieurs études mentionnent que l’alimentation autonome « bien pratiquée » permet de combler les besoins de bébé aussi bien que la méthode traditionnelle des purées. L’expression « bien pratiquée » signifie que l’enfant bénéficie d’une alimentation variée, notamment avec des aliments riches en fer, et sécuritaire.

Un bébé sait s’il a faim ou non

En laissant votre bébé décider ce qu’il mange, vous n’influencez pas les aliments ni les quantités qu’il met dans sa bouche. Vous lui servez de modèle et vous vous occupez uniquement d’instaurer une ambiance agréable au repas.

Au fil des semaines, le bébé devient de plus en plus habile et mange une plus grande quantité d’aliments. La DME semble fournir des apports caloriques suffisants pour une croissance normale, si elle est bien menée avec des aliments riches en nutriments.

Il a été montré que le bébé a une capacité innée de savoir quand il a faim et quand il est rassasié. C’est ce qu’on appelle reconnaître et respecter les signaux de faim et de satiété. C’est pourquoi il tète lorsqu’il a faim et arrête lorsqu’il est rassasié. Il mange donc selon ses besoins.

Avec l’introduction des aliments complémentaires, le bébé suit le même principe. Il faut donc lui faire confiance quant aux quantités d’aliments qu’il décide d’avaler. Il n’est pas nécessaire de calculer les portions, mais la qualité des aliments offerts est d’une grande importance.

Il est essentiel d’offrir au bébé des aliments nourrissants, contenant non seulement des vitamines et des minéraux, mais aussi des calories. Les fruits et les légumes, c’est bien, mais un enfant a besoin de beaucoup plus. Par ailleurs, il ne faut pas tomber dans le piège des aliments qui se mangent bien avec les doigts, mais qui ne sont pas des aliments nourrissants. Chaque petite bouchée compte.

Composition des repas

Les repas n’ont pas besoin d’être toujours parfaits. Ils devraient cependant inclure des aliments variés, dont :

  • de la viande, du poisson, des oeufs, des légumineuses, du tofu, etc., notamment pour l’apport en fer, qui est très important à cet âge;
  • un ou des légumes;
  • un féculent, comme le pain, les pâtes, la pomme de terre, etc.;
  • un produit laitier, du lait maternel ou une préparation pour nourrissons;
  • un fruit;
  • une matière grasse (avocat, beurre de noix, huile, etc.).

DME et purées

Contrairement à certaines croyances, un bébé qui se nourrit selon les principes de la DME peut manger des purées. Si vous souhaitez respecter le principe d’autonomie à la lettre, vous pouvez lui offrir sa purée sur du pain grillé ou à l’aide d’une cuillère préremplie afin qu’il mange seul.
Il n’est pas dangereux pour le bébé de manger en alternance des purées et des morceaux d’aliments. Par exemple, un bébé peut sans problème manger selon l’alimentation autonome à la maison et manger des purées à la garderie. Il est capable de s’adapter à la forme des aliments qu’il a en bouche.

Quels aliments donner à un bébé qui se nourrit seul?

Avec l’alimentation autonome, un bébé peut souvent manger les aliments prévus au menu du repas familial, à la condition que le format et la texture soient sécuritaires, par exemple :

  • légumes tendres ou bien cuits, en lanières, en bâtonnets ou en bouquets (ex. : carotte, brocoli, poivron, asperge);
  • viande tendre (ex. : faux-filet de boeuf en lanières de 2 cm, boeuf ou porc sur l’os, viande effilochée vers 7 ou 8 mois);
  • poisson;
  • légumineuses en purée ou incorporées dans les recettes. Attendre vers 9 mois pour les légumineuses entières;
  • tofu en bâtonnets, en gros cubes (au moins 3 cm) ou râpé;
  • fruits mous ou très mûrs (ex. : banane, avocat, pêche, prune cuite, pomme cuite, cantaloup, poire). Pour les fruits avec une pelure épaisse comme le melon, la banane et l’orange, il est conseillé de laisser une portion de la pelure sur la chair pour que le bébé ait plus de facilité à les prendre et éviter qu’ils glissent hors de sa main;
  • croûtes de pain ou pain grillé qui peuvent être tartinés de beurre d’arachide ou de noix, d’houmous, d’avocat, de purée de légumineuses ou d’huile d’olive;
  • pâtes cuites;
  • fromage râpé ou en gros cubes.

Taille des aliments selon l’âge

Vers 6 ou 7 mois : aliments en forme de bâtonnets, de lanières ou de croquettes qui dépassent du poing fermé du bébé
Vers 7 ou 8 mois : aliments de la grosseur d’une balle de golf
Vers 9 à 12 mois : aliments de la grosseur d’un dé et la cuillère préremplie peut être intégrée

Quels sont les aliments à éviter?

Même si, selon les principes de la diversification alimentaire menée par l’enfant, un bébé peut manger comme le reste de la famille, certains aliments sont à éviter.

Voici les principaux aliments qui ne devraient pas lui être offerts :

  • fruits ou légumes avec une pelure mince qui n’ont pas été pelés;
  • mie de pain non grillé, car elle peut former une boule collante une fois mélangée à la salive;
  • raisins entiers et tomates cerises entières (il faut les couper en 2 ou en 4);
  • légumes ou fruits crus qui sont durs (ex. : carotte, céleri, navet, pomme);
  • aliments crus ou pas assez cuits (ex. : oeuf, viande, poisson);
  • saucisses en rondelles (peu importe leur forme, les saucisses ne sont pas un aliment nourrissant et sont non recommandées pour les bébés);
  • viandes transformées (ex. : charcuteries, viandes marinées ou assaisonnées du marché), car elles renferment du sel et plusieurs additifs indésirables pour bébé;
  • aliments ultratransformés du commerce (ex. : croquettes de poulet ou de poisson, pizzas, sauces pour pâtes, soupes prêtes à manger). Ces mêmes repas cuisinés à la maison, avec des ingrédients bien choisis, peuvent toutefois convenir;
  • arachides et noix entières;
  • aliments ronds, durs ou collants;
  • raisins secs;
  • fromage en bâton de type FicelloMD (sauf si effiloché);
  • miel (en raison du risque de botulisme infantile, une maladie mortelle rare, il ne faut jamais donner de miel à un enfant de moins de 1 an);
  • plats qui contiennent du sel, du sucre ou qui sont trop épicés. L’ajout de fines herbes et d’épices non piquantes aux plats ne cause toutefois aucun problème. Elles font partie des saveurs à découvrir.

Conseils pratico-pratiques pour faciliter la DME

  • Faites porter à votre bébé une bavette longue munie de manches longues. Si la bavette est assez longue, vous pouvez la placer sur la tablette de la chaise haute pour y déposer l’assiette dessus. Ainsi, les aliments qui ne se rendent pas à la bouche de votre bébé tombent dessus, et non sur ses cuisses ou sur le sol.
  • Laissez votre bébé manger en couche pour faciliter le nettoyage.
  • Disposez un couvre-sol en plastique sous la chaise haute.
  • Placez les aliments du repas dans une grande assiette en plastique ou directement sur le plateau de sa chaise haute. Les assiettes avec une ventouse ainsi que les napperons et assiettes tout-en-un qui collent à la table peuvent aider à contrôler certains dégâts.
  • Offrez un ou deux aliments à la fois au début. Si vous lui en donnez trop, cela risque de le décourager.
  • Laissez votre bébé manipuler sa cuillère et jouer avec elle, même s’il mange avec ses mains, afin de satisfaire sa curiosité et de lui permettre de développer sa motricité.
  • Acceptez les petits dégâts et le fait que votre enfant soit sale de la tête aux pieds.

Les précautions à prendre

Prévenir les carences en fer

Pour apprendre davantage de notions pratiques et vous sentir plus à l’aise avec l’approche de l’alimentation autonome, plusieurs nutritionnistes offrent des ateliers.

À 6 mois, il est important que votre bébé mange deux fois par jour des aliments riches en fer, comme les céréales pour bébés enrichies en fer, de la viande, du poisson, des légumineuses, des tartinades de noix et de graines, des légumes vert foncé, des oeufs et du tofu. Pour favoriser l’absorption du fer d’origine végétale, incluez un aliment riche en vitamine C aux repas (fruit ou légume).

Ce n’est pas parce que votre bébé mange seul qu’il ne peut pas manger des céréales enrichies en fer. Pour respecter les principes de la DME, vous pouvez remplir la cuillère pour votre bébé, tout en le laissant la porter à sa bouche, et répéter jusqu’à ce qu’il vous montre qu’il n’a plus faim.

Vous pouvez également intégrer les céréales enrichies à des aliments que votre enfant mange seul. Par exemple, vous pouvez utiliser des céréales enrichies pour épaissir une soupe, pour remplacer une partie de la farine dans des muffins ou une partie de la chapelure dans une recette de boulettes à la viande, ou pour y rouler les aliments difficiles à tenir afin qu’ils glissent moins des mains de votre bébé.

Si la texture des céréales que vous préparez est très épaisse, votre bébé peut les manger directement avec ses mains. Vous pouvez aussi mettre les céréales à la texture très épaisse sur une galette de riz ou un bout de pain grillé.

Bien sûr, vous pouvez aussi donner les céréales enrichies en fer à la cuillère à votre bébé si vous le souhaitez. Cependant, ce n’est plus de l’alimentation autonome, dont le principe de base est de laisser cette autonomie à l’enfant. Vous pouvez aussi, en le nourrissant à la cuillère, être à l’écoute de votre bébé afin qu’il mange à sa faim, ni plus ni moins.

Prévenir les risques d’étouffement

Lorsque des aliments vont trop loin dans sa bouche, votre enfant a habituellement un haut-le-coeur. Il peut alors tousser et recracher la nourriture. C’est ce qu’on appelle le réflexe nauséeux, qui le protège des étouffements. Ce réflexe est très sensible chez les bébés, et plusieurs experts y voient là un avantage, car ça en fait un moment propice pour qu’il apprenne à se nourrir de manière autonome et sécuritaire.

Les consignes de sécurité pour prévenir les étouffements s’appliquent aussi bien à la DME qu’à l’alimentation en général avec les jeunes enfants :

  • Installez votre bébé dans sa chaise haute de façon à ce qu’il soit assis bien droit.
  • Avant de lui offrir des aliments, assurez-vous que votre bébé est bien éveillé.
  • Ne laissez jamais votre enfant manger sans la surveillance d’un adulte.
  • Favorisez une ambiance calme aux repas et évitez les distractions (jouets, télévision ou autres écrans).
  • Offrez des aliments sécuritaires et évitez ceux qui présentent un risque d’étouffement (voir Quels sont les aliments à éviter? ci-dessus).
  • Sachez reconnaître les signes d’étouffement (ex. : toux faible et inefficace, sons aigus lors de l’inspiration, incapacité à émettre des sons ou à pleurer).

Bien pratiquée, l’alimentation autonome ne présente pas plus de risque d’étouffement que l’approche traditionnelle avec les purées. Il est d’ailleurs possible qu’un bébé mette dans sa bouche et essaie d’avaler, sans que ses parents s’en rendent compte, des aliments ou des objets non sécuritaires qu’il a ramassés par terre. Pour cette raison, les cours de réanimation cardiorespiratoire (RCR) sont recommandés, peu importe l’approche que vous choisissez pour l’introduction des aliments complémentaires.

À retenir

  • L’alimentation autonome comporte plusieurs avantages pour les bébés et les parents, mais elle ne convient pas à tous les enfants.
  • Avec l’alimentation autonome, les repas et les collations doivent être bien planifiés afin que les enfants mangent des aliments nourrissants, contenant des vitamines, des minéraux et des calories.
  • Grâce au réflexe nauséeux, l’alimentation autonome bien pratiquée ne présente pas plus de risque d’étouffement que l’approche traditionnelle avec les purées.
Naître et grandir

Révision scientifique : Stéphanie Côté, M. Sc., nutritionniste
Recherche et rédaction :
Équipe Naître et grandir
Mise à jour : Octobre 2024

Photos : iStock.com/TW-Creative et GettyImages/LSOphoto

Ressources et références

Note : Les liens hypertextes menant vers dautres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est donc possible quun lien devienne introuvable. Dans un tel cas, utilisez les outils de recherche pour retrouver linformation désirée.

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