Trafic de chaussettes

Trafic de chaussettes

Mon premier est le contraire de froid.
Mon deuxième est le voisin de 6 et 8.
Mon tout est un vrai cauchemar!


Le lundi, je mets 10 paires de chaussettes au linge sale. Le mercredi, une fois lavées et séchées, impossible de reformer des paires dignes de ce nom. La moitié a disparu.

L’enfer.

Il doit y avoir un réseau de trafic de chaussettes dans ma salle de lavage. J’ai même vérifié si mes fenêtres étaient bien fermées! C’est incompréhensible. Agaçant. Énervant. Frustrant. Et ça fait des années que ça dure. Comme nous sommes 5 à la maison, j’ai besoin de 2 paniers pour entreposer mes esseulées. Dernièrement, j’ai même retrouvé une chaussette de bébé. Toute rose. Toute minuscule. Elle a fini au pied d’une poupée.

Je vous en prie, dites-moi comment vous faites ou bien donnez-moi la marque de votre sécheuse. Mieux, vendez-la-moi! La mienne est possédée par je ne sais quel esprit maléfique qui téléporte une partie de nos chaussettes dans une autre dimension ou bien qui les brûle par pur sadisme! Sauf celles de mon homme. Celles-là sont sacrées. Il achète toujours les mêmes noires. Aucune chance de se tromper. Je devrais faire la même chose, mais impossible de m’y résoudre. Mes enfants et moi aimons trop les couleurs, les rayures, les pois, les animaux, les superhéros (eux seulement!). Bref, les chaussettes rigolotes qui donnent envie de commencer la journée du bon pied.

Nous sommes donc condamnés à porter des chaussettes dépareillées, mais colorées. Le pire, c’est que mes enfants sont tellement habitués (et leurs amis aussi) qu’ils refusent de porter 2 chaussettes identiques.  « C’est tellement plus zoli maman des saussettes pas pareilles! » À moins d’une solution miracle, j’envisage sérieusement de lâcher prise.

 

17 avril 2013

Naître et grandir

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