En manchettes: Réparer les jouets – Vaccination et COVID-19 – Pleurs de bébé – Devoirs

En manchettes: Réparer les jouets – Vaccination et COVID-19 – Pleurs de bébé – Devoirs
En manchettes: Réparer les jouets – Vaccination et COVID-19 – Pleurs de bébé – Devoirs

Cette nouvelle fait partie de nos archives. Il se peut que son contenu ne soit pas à jour.


Donner une 2e vie aux jouets brisés, vaccin contre la COVID-19, prendre souvent un bébé ne le gâte pas, motiver votre enfant lors des devoirs


CONSOMMATION

Jouets brisés : leur donner une 2vie

Des millions de jeux et jouets prennent le chemin du dépotoir chaque année. Pourtant, la plupart d’entre eux sont réparables et peuvent avoir une deuxième vie.

Dans son récent guide Jeux et jouets, le magazine Protégez-Vous partage quelques conseils pour éviter de vous départir trop vite de jouets brisés :

  • Remplacez les pièces manquantes : il existe des boutiques spécialisées qui vendent des morceaux pour les jeux de société (ex. : Mamayoky, Jeux TBT). Vous pouvez aussi trouver des jeux usagés (ex. : Kijiji, MarketPlace) à partir desquels reconstituer les vôtres. Enfin, il existe des imprimantes 3D dans certaines bibliothèques pour imprimer des morceaux perdus ou brisés.
  • Réparez : certains fabricants ainsi que des entreprises ou des coopératives locales (ex. : Repair Café, La Remise, Les Affutés, Raplapla) offrent des services de réparation. Il y a également plusieurs tutoriels de réparation sur Internet.
  • Donnez et recyclez : si vous n’êtes pas capable de réparer le jouet, donnez-le à des organismes comme Réno-Jouets. S’il est vraiment inutilisable, amenez-le à l’écocentre le plus près de chez vous où il sera démonté. Certains morceaux pourront être réutilisés et d’autres recyclés.

Acheter moins de jouets et privilégier ceux de meilleure qualité, qui seront probablement plus durables, sont aussi des moyens d’en jeter moins. Par exemple, plus l’épaisseur du plastique des jouets ou du carton des jeux de société est mince, moins ils seront résistants. Les jouets en bois sont généralement solides.

Pour avoir un aperçu des jeux et des jouets testés par Protégez-Vous, consultez leur guide en ligne : protegez-vous.ca

COVID-19

Peur du vaccin : une vidéo pour rassurer enfants et parents

Les enfants âgés de 5 à 11 ans pourront probablement bientôt pouvoir recevoir une première dose de vaccin contre la COVID-19. Plusieurs enfants et parents éprouvent toutefois certaines craintes, tant au sujet de l’aiguille que du contenu de la seringue.

Pour les rassurer, les Coops de l’information et Télé-Québec ont lancé une vidéo qui répond aux questions les plus fréquentes sur la vaccination. Dans des mots simples, le soulagement de la douleur, les effets secondaires, les avantages de vacciner les enfants et la sécurité des vaccins y sont entre autres abordés.

Des scientifiques de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) ont validé le contenu de cette vidéo.

Pour voir la vidéo : latribune.ca

À lire aussi : notre dossier Mieux comprendre l’hésitation à la vaccination

COMPORTEMENT

Pleurs : non, prendre un bébé dans ses bras ne le gâte pas

Des parents qui prennent leur nouveau-né dans leurs bras dès qu’il pleure vont parfois se faire dire qu’ils « gâtent » leur bébé. Or il n’en est rien, confirment les études.

Durant les premiers mois de vie, un bébé pleure pour exprimer ses besoins : faim, fatigue, inconfort, peur, solitude, etc. Un nouveau-né ne pleure jamais pour manipuler. Il en est incapable, car son cerveau n’est pas encore assez développé pour le faire.

En prenant votre bébé dans vos bras pour le réconforter et répondre à son besoin, vous l’aidez à réguler ses émotions et à apprivoiser les divers stimuli de son environnement. Vous favorisez également l’attachement entre vous. Le peau à peau est par ailleurs une bonne méthode de réconfort dans les premières semaines de vie, a démontré une recherche américaine.

Source : HealthLine

ÉCOLE

Devoirs : des phrases pour motiver votre enfant

Votre enfant n’aime pas la période de devoirs? Il existe des phrases qui peuvent le motiver et lui donner confiance en lui, soutient une psychologue française.

Première règle, ne pas émettre de jugement. Il est donc conseillé d’éviter les « C’est bien! » ou « Ce n’est pas bien » et de les remplacer par des phrases comme : « Je vois que tu as utilisé une excellente méthode. » ou « Tu as fait des progrès, car, avant, tu n’aurais pas fait cet exercice de cette manière. »

Le but est d’encourager votre enfant et de l’amener à être content de lui. Il doit pouvoir se rendre compte de sa réussite. Donc, au lieu de lui dire : « Je suis fier de toi! », vous pouvez lui dire : « Tu dois être fier d’avoir réussi! »

Deuxième règle, faire sentir à l’enfant que l’erreur est possible et normale. S’il fait des erreurs dans son devoir, vous pouvez simplement lui dire : « Pour le moment, tu n’y arrives pas, mais en travaillant, tu réussiras! » Si votre enfant semble déçu d’une note scolaire, montrez-lui que vous comprenez sa déception vu qu’il s’attendait à mieux. Encouragez-le à trouver ce qu’il peut faire pour obtenir la note qu’il désire la prochaine fois. Amenez-le à comprendre ses erreurs et à trouver des solutions.

Enfin, en tout temps, dites-lui que vous avez confiance en lui et en ses capacités. Il gagnera ainsi de l’estime de soi.

Source : psychologies

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4 novembre 2021

Par l’équipe de Naître et grandir

Naître et grandir

 

Photos : GettyImages/fizkes; les Coops de l’information; GettyImages/milorad kravic et shapecharge

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