En manchettes: Herbe à poux - À écouter - Activité physique et cerveau

En manchettes: Herbe à poux - À écouter - Activité physique et cerveau
En manchettes: Herbe à poux - À écouter - Activité physique et cerveau

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Importance d’enlever l’herbe à poux, chronique audio Familles à la une, et activité physique et cerveau des tout-petits


RHUME DES FOINS

Herbe à poux : une mauvaise herbe à enlever!

Si votre enfant a souvent le nez et les yeux qui piquent ou qui coulent à la fin de l’été, il souffre probablement du rhume des foins, qui est très souvent causé par l’herbe à poux. La solution? Éliminer cette mauvaise herbe!

Pour s’en débarrasser, il faut soit arracher l’herbe à poux à la main soit la tondre à l’aide d’une tondeuse à gazon. Il est recommandé d’arracher l’herbe à poux dès qu’on la voit ou de la tondre à la mi-juillet et à la mi-août. Elle peut être arrachée sans crainte, car elle ne provoque pas de démangeaisons et d’éruptions cutanées.

L’herbe à poux est facile à reconnaître grâce à ses feuilles dentelées qui ressemblent à celles de la carotte. Sa tige est poilue et d’un vert grisâtre qui devient rouge lors de la floraison. La plante mesure en moyenne 70 cm. Dès la mi-juillet, elle commence à fleurir et à produire du pollen, qui sera libéré jusqu’au premier gel de l’automne.

L’herbe à poux arrachée ou coupée devrait être jetée avec les ordures. Mieux vaut éviter de la mettre au compost, car ses graines peuvent le contaminer.

Pour en savoir plus sur le rhume des foins, aussi appelé rhinite allergique, consultez notre fiche Les allergies respiratoires.

Évolution de l’herbe à poux. Juin, juillet, août.

Reproduit avec l’autorisation du ministère de la Santé et des Services sociaux

Source : Gouvernement du Québec

À ÉCOUTER

Familles à la une

Dans cette deuxième chronique audio, la journaliste Maude Goyer vous présente en 5 minutes des sujets qui ont retenu son attention sur la famille, l’enfance et la parentalité.

Les sujets de cette semaine :

  • Prévenir les violences sexuelles chez les enfants
  • Un parc cycliste pour apprendre le vélo
  • La philocréation pour déjouer l’ennui

Pour écouter : naitreetgrandir.com/fr/balado/familles-a-la-une

DÉVELOPPEMENT

Bouger, c’est bon pour le cerveau des tout-petits

L’activité physique est essentielle pour assurer un développement optimal du cerveau, et ce, dès le plus jeune âge, indiquent des chercheurs canadiens.

Le jeu actif et l’activité physique contribuent non seulement au développement physique des enfants, mais aussi à leur développement social, émotionnel et intellectuel. Comme les connexions neuronales qui sont créées avant l’âge de 5 ans influencent la façon dont le cerveau va continuer à se développer, être actif en bas âge est très important.

Selon de précédentes recherches, les tout-petits qui sont actifs font preuve d’une meilleure coordination, motricité et forme physique. De plus, ils coopèrent mieux et partagent davantage avec les autres. Ils sont également plus capables de gérer leurs émotions et ont un meilleur comportement en général. Les enfants en bas âge qui bougent régulièrement sont aussi plus attentifs et savent mieux résoudre des problèmes et persister dans une tâche.

Toutefois, moins d’un enfant sur cinq respecterait les recommandations minimales canadiennes d’activité physique, de comportement sédentaire et de sommeil, selon le bulletin de l’organisme ParticipACTION. Les écrans sont évidemment mis en cause. Les chercheurs soulignent par ailleurs que les enfants arrivent à l’école avec des aptitudes physiques plus limitées que ceux des générations précédentes. De plus, les enfants marcheraient en moyenne 3604 pas de moins durant une journée de fin de semaine qu’une journée d’école.

Source : The Conversation

À lire aussi :

 

16 juillet 2020

Par l’équipe de Naître et grandir

Naître et grandir

 

Photos : GettyImages/Sergey Kharin et RuslanDashinsky

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