En manchettes: Ressources à découvrir – Anxiété des nouveaux pères – Préjugés

En manchettes: Ressources à découvrir – Anxiété des nouveaux pères – Préjugés
En manchettes: Ressources à découvrir – Anxiété des nouveaux pères – Préjugés

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Ressources pour les parents et les élèves, anxiété des nouveaux pères, et enfants et préjugés des autres


VIE DE FAMILLE

COVID-19 : 3 ressources à découvrir

Première ressource, encore plus présente pour les parents
Pour soutenir davantage les parents en ces temps de pandémie, Première ressource a allongé ses heures d’ouverture, qui sont désormais de 8 h à 18 h du lundi au jeudi et de 8 h à 16 h 30 le vendredi. Ce service vous permet de discuter avec un professionnel en intervention psychosociale de problèmes qui touchent les enfants. Gratuites et confidentielles, les consultations peuvent se faire par téléphone (514 525-2573 ou 1 866 329-4223), clavardage ou courriel (consultation@premiereressource.com).

Devenir parents
Le CHU Sainte-Justine vient de publier le Guide grossesse et arrivée de bébé en temps de COVID-19. Basé sur des données scientifiques, ce guide gratuit aborde la grossesse, l’accouchement et la période postnatale durant la pandémie, que les futurs parents aient ou non la COVID-19. Il est aussi question de l’importance de prendre soin de soi pendant et après la grossesse, car la pandémie peut provoquer de la peur, de l’anxiété, du stress, de la colère ou de la tristesse. Pour consulter le guide : chusj.org

De nouveaux services pour Alloprof
Pour donner un dernier coup de pouce aux élèves avant la fin de l’année scolaire, Alloprof vient de lancer un espace de clavardage dans lequel les élèves peuvent poser leurs questions aux enseignants de l’organisme ainsi qu’une zone d’entraide où les élèves peuvent poser leurs questions ou répondre à celles de leurs pairs. Le service de clavardage est offert du lundi au jeudi de 17 h à 20 h et le dimanche de 13 h à 17 h. L’aide par téléphone (514 527-3726 ou 1 888 776-4455) et par texto est offerte selon le même horaire.

SANTÉ MENTALE

Anxiété : les nouveaux papas en souffrent aussi

Il y aurait plus de problèmes d’anxiété chez les nouveaux papas que dans la population masculine en général, indique l’analyse de nombreuses études menées sur l’anxiété.

Selon les chercheurs, 11 % des nouveaux papas développeraient de l’anxiété pendant la période de la grossesse et pendant la première année suivant la naissance de leur enfant. Ce taux est plus élevé que ce que rapporte l’Organisation mondiale de la santé sur l’anxiété masculine dans son ensemble, soit entre 2,2 et 3,8 %. Ce constat suggère que la transition vers la vie de papa serait un facteur de risque pour l’anxiété.

L’arrivée d’un premier enfant s’accompagne en effet de nouvelles responsabilités parentales et financières. À cela, s’ajoute la conciliation famille-travail. Ces défis peuvent conduire à des problèmes d’anxiété. Malheureusement, on parle peu de l’anxiété des pères, se désolent les auteurs de l’analyse qui ont passé en revue plusieurs études regroupant 40 000 participants, entre 1995 et 2020.

Les chercheurs ont également indiqué que 17,6 % des nouvelles mères souffriraient d’anxiété durant la grossesse et au cours de la première année de vie du bébé. Ce taux est aussi plus élevé que pour la population féminine en général.

Source : Medical Xpress

COMPORTEMENT

Préjugés : l’impact des opinions négatives sur les enfants

Les enfants qui entendent des paroles négatives sur un groupe de personnes auraient tendance à adopter une attitude négative envers ces individus, révèle une étude américaine réalisée auprès de 121 enfants âgés de 4 à 9 ans.

Parmi ces enfants, certains ont entendu par hasard des paroles négatives dirigées vers un groupe d’individus fictifs au sujet, par exemple, de leurs vêtements bizarres ou de leur drôle d’accent. Les autres enfants de l’étude ont entendu parler de ce groupe de gens de façon neutre.

Les enfants âgés de 7 ans et plus qui avaient été exposés à des remarques négatives en ont exprimé davantage immédiatement après la conversation que les enfants du même âge qui n’en avaient pas entendu. Même deux semaines après avoir entendu le discours négatif, les enfants de 7 ans et plus adoptaient toujours une attitude défavorable envers le groupe fictif.

Même s’ils avaient entendu des remarques négatives, les tout-petits de 4 et 5 ans n’ont pas exprimé de préjugés. Les chercheurs supposent que leur capacité d’attention réduite et leur moins grande habileté à capter les éléments d’une conversation sans y participer expliqueraient cette différence.

Source : CNN Health

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22 avril 2021

Par l’équipe de Naître et grandir

Naître et grandir

 

Photos : GettyImages/Chainarong Prasertthai, RyanJLane et kali9

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